par Luc » 26 sept. 2017, 15:20
Projeté en novembre dernier à Cinémania, puis par la suite au Beaubien? J'avais manqué ce film noir et rouge tech-gothique absolument captivant d'un bout à l'autre, grâce à la résiliente, résistante, immuable et éternelle ISABELLE HUPPERT. Pas lu le roman de Philippe Djian (jamais lu un roman de Philippe Djian, de fait) dont s'est inspiré ce tordu de Verhoeven. Le personnage qu'incarne Huppert n'est pas aussi pervers que sa pianiste dans le film de Haneke, mais pas loin, calvâsse. Bonus : Charles Berling réussit à ne pas me taper sur les nerfs. Un truc de malade, comme on dit. César du meilleur film et César de la meilleure actrice 2017, pour Isabelle Huppert évidemment. À ne pas visionner avec les enfants.
Projeté en novembre dernier à Cinémania, puis par la suite au Beaubien? J'avais manqué ce film noir et rouge tech-gothique absolument captivant d'un bout à l'autre, grâce à la résiliente, résistante, immuable et éternelle ISABELLE HUPPERT. Pas lu le roman de Philippe Djian (jamais lu un roman de Philippe Djian, de fait) dont s'est inspiré ce tordu de Verhoeven. Le personnage qu'incarne Huppert n'est pas aussi pervers que sa pianiste dans le film de Haneke, mais pas loin, calvâsse. Bonus : Charles Berling réussit à ne pas me taper sur les nerfs. Un truc de malade, comme on dit. César du meilleur film et César de la meilleure actrice 2017, pour Isabelle Huppert évidemment. À ne pas visionner avec les enfants.