Se sacrifier jusqu'à quel point?

Répondre


Veuillez compléter la vérification suivante afin de nous permettre de lutter contre les publications automatisées indésirables.
Émoticônes
:wink: :smile: :thumbup: :headphone: :sad: :scare: :rolling: :cool: :think: :thumbdown: :music: :crying: :shock: |( ;) :excellent: }:) {:| ;( :) :(
   

Agrandir Relecture du sujet : Se sacrifier jusqu'à quel point?

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par Ash » 06 févr. 2021, 08:56

jon8 a écrit :
29 janv. 2021, 15:43
Espérance de vie moyenne: 71,4 ans

1 million d'années en ''Temps de vie'' c'est donc la vie entière de 14 000 personnes.


Et en continuant dans la remise en perspective par les chiffres, si une vie entière (donc 71,4 ans) était dédiée à visionner au travers des yeux et du corps de chacun des humains, cette personne ne pourrait voir que ... un demi centième de seconde de chaque vie sur la terre.

1/200 seconde.

C'est difficile à imaginer tellement que c'est monstrueux, mais le Temps de vie total qui s'écoule en tout temps est gigantesque. Des secondes, des minutes, des heures de sommeil, d'éveil, de souffrance ou de bonheur, du bébé qui pleure à sa naissance au vieillard qui s'éteint dans son lit de mort.

C'est ridicule de penser arrêter le cours de la vie.

Et c'est vraiment ce qu'une poignée d'individus en position de pouvoir tente de faire, inconsciemment, j'en suis sûr, ce qui est dans un sens encore plus inquiétant... L'expression d'un manque de courage, de sentimentalisme et d'ignorance.
Un autre texte qui complèterait bien ta série Aftermath.

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par Ash » 03 févr. 2021, 06:43

jon8 a écrit :
29 janv. 2021, 12:09
J'ajouterais que c'est un débat qu'il va falloir avoir au niveau philosophique, mais aussi et peut-être surtout, au niveau de la santé publique.

On mange mal, on travaille trop, on bois, on fume, on pollue, on ne fait pas assez d'exercice, et j'en passe...

Donc un moment donné c'est évident qu'on se ramasse avec un 3% ou un 5% de la population mondiale qui a une espérance de vie restante très réduite. Qui est responsable de ça? L'individu? Le société? Un peu des deux?

Le monsieur qui fume 3 paquets par jour et qui boit tous les jours en mangeant du mcdo sans faire d'exercise... Faut se sacrifier jusqu'à quel point pour lui sauver une couple de mois de vie, lui? Autant en taxes et impôts qu'en couvre-feu et mesures liberticides? Je caricature, bien sûr, je sais qu'il y a des tristes victimes, des immunodéprimés, des malchanceux à la loterie de la vie, mais nous savons tous que nous allons mourir plus tôt si nous n'avons pas des bonnes habitudes, je n'invente rien que vous ne savez pas déjà...

Je pose simplement la question. On trace la ligne où ? C'est possible de simplement en parler? En débattre? On peut voter là dessus ?

Déjà que les enfants, les grands perdants de cette histoire, n'ont pas le droit de voter... Est-ce que les parents, les adultes, les individus majeurs et vaccinés (lol) ont le droit de ne pas être d'accord avec les dirigeants et la faune médiatique? Est-ce juste possible d'en discuter intelligemment?

Ne serait-ce que pour prendre des décisions plus intelligentes lors de la prochaine pandémie...

:sad:
Bien d’accord sur ce point. La société et chaque individu qui la compose doit faire un examen de conscience. J’en ai tellement à dire sur ce point...
merci à châtelaine qui nous pond un article sur le renforcement du système immunitaire au moins une fois aux deux semaines. Avez-vous trouvé des publications de la santé publique sur le sujet pendant la pandémie ?

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par jon8 » 02 févr. 2021, 09:00

Regardez 3 minutes de séquence sur cette vidéo....






BOOM.


C'est fou, c'est juste fou.

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par OlivierC » 31 janv. 2021, 17:43

Bon point.

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par Tomahack » 31 janv. 2021, 16:53

Ben justement pour éviter les mêmes erreurs encore une fois.
Tu as des exemples dans l'histoire de l'humanité ou l'on évite les erreurs passées? Moi pas.

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par OlivierC » 31 janv. 2021, 16:40

Ben justement pour éviter les mêmes erreurs encore une fois. Imaginez un virus avec un taux de mortalité aussi élevé que l'Ebola mais aussi contagieux que Covid-19...

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par jon8 » 31 janv. 2021, 16:34

et sûrement à l'échelle mondiale.

On va en entendre parler jusqu'à la fin de nos jours, c'est certain. En plus si un 2e virus provoque une autre pandémie.

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par Tomahack » 31 janv. 2021, 16:28

Bah, le début d'une longue bataille entre avocats et "experts" qui va probablement perdurer sur des décennies.

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par OlivierC » 31 janv. 2021, 16:11

Moi je trouve que c'est une excellente nouvelle et une initiative qui, ENFIN donne de l'espoir dans la folie qui dure depuis 1 an

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par Ash » 31 janv. 2021, 10:18

WOW :thumbup:

Une lettre adressée au PM remise par huissier.
Nous désirons porter à votre attention la plainte pénale relative aux vaccins
Pfizer/BioNTech et Moderna qui a été déposée en France par l’association
RÉACTION 19 auprès du Procureur de la République près le tribunal judiciaire de
Paris le 16 décembre 2020 (ci-après la « Plainte »), dont une copie est jointe à la
présente. La FDDLP souscrit entièrement aux énoncés contenus dans la Plainte.
La Plainte expose que le « vaccin » Pfizer/BioNTech, qui est celui qui est
présentement utilisé dans le cadre de la campagne de vaccination en cours au
Québec, et celui de Moderna, qui pourrait lui aussi être prochainement utilisé au
Québec, constituent non pas des vaccins, mais une thérapie génique.
Citant un extrait tiré d’un document intitulé « Note d’expertise Grand Public sur les
Vaccins Ayant Recours aux Technologies OGM »1 daté de septembre 2020, la
Plainte mentionne ce qui suit :
« (…) les « vaccins » proposés par Pfizer, BioNTech et Moderna consistent
à :
« Introduire du matériel génétique viral dans les cellules de la personne à
vacciner (l’administration est essentiellement intramusculaire, voire
intradermique dans deux des cas). Il s’agit soit d’ARN emprisonné dans des
nanoparticules de lipides, soit d’ADN inséré dans une plasmide, soit encore
d’ADN ou d’ARN délivré par un virus génétiquement modifié désarmé. »
Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection
pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors
s’intégrer dans nos chromosomes.
Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes
définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des
acides nucléiques de nos ovules et spermatozoïdes, de transmettre
ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui
font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées
« vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et
plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.
Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais
transgéniques des OGM (organisme génétiquement modifiés). Un
responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a
déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle,
mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus,
donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne
s’agit pas d’un vaccin. Un comble. »2 (Notre emphase).
« Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin.
Or, quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont
la mortalité est proche de 0,05%. Aucun. Cette vaccination de
masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus
importants que les bénéfices.» (Notre emphase).
« Les problèmes sont nombreux et effectivement préoccupants.
Certaines données issues du rapport de Pfizer sont inquiétantes,
notamment autour des lymphadénopathies, paralysies faciales et
arythmies ventriculaires. Alors qu’on parle de vacciner nos aînés
en Ehpad, nous sommes toujours en phase d’expérimentation chez
l’homme.
Le gouvernement a décidé de mettre en œuvre une stratégie
jamais utilisée chez des personnes saines, alors qu’on est encore
en pleine période d’essai clinique, ce qui est notamment le cas de
Pfizer. Où sont les standards fondamentaux de l’éthique médicale? Ceux
qui vont mettre en œuvre cette campagne expérimentale seront-ils
conscients de la nécessité d’éclairer le consentement des sujets volontaires?
Les personnes âgées seront-elles informées qu’elles vont participer à un
projet de recherche biomédicale?
En outre, même sous le prétexte d’urgence sanitaire, à laquelle tant de
personnes libres, sans conflit d’intérêts, ne croient plus, comment osonsnous jouer sur la crédulité des gens en utilisant des définitions
technocratiques des mots? Demandez donc aux gens ce qu’est pour eux
un ‘‘vaccin’’. Ils ne vont certainement pas s’imaginer que, par cette
injection, leur corps va se retrouver, tel un OGM, l’héritier d’une
information génétique de virus, qui va forcer leurs cellules à produire
sa protéine virale, pour créer – selon une réaction de type auto-immune –
des anticorps dirigés contre les cellules qui auront produit la protéine du
virus.
Il faut donc commencer par arrêter d’utiliser le mot ‘‘vaccin’’, détourné par
les textes régulateurs et mettre en place un consentement véritablement
éclairé. »3 (Notre emphase).
Jamais le gouvernement québécois n’a-t-il informé la population québécoise quant
à la nature réelle des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna, soit qu’ils
constituent une thérapie génique ou expérimentale, et quant aux nombreux effets
indésirables et risques que ces « vaccins » comportent pour la santé des gens qui
le recevront, ce qui est inacceptable dans une société libre et démocratique comme
le Québec. Ce faisant, le gouvernement québécois a induit et continue d’induire
en erreur la population. Le gouvernement québécois a gravement manqué à son
obligation d’information, de transparence, de prudence et de sécurité envers la
population québécoise en n’informant pas adéquatement la population,
notamment quant à la nature réelle des « vaccins », ainsi que quant au risques et
effets indésirables pour la santé pouvant découler desdits « vaccins ».
Par ailleurs, la FDDLP dénonce le fait que le gouvernement du Québec, jusqu’à ce
jour, a omis de tenir un véritable débat public sur toute question en lien avec la
crise de la Covid-19.
Également, la FDDLP dénonce vigoureusement l’utilisation, par le gouvernement
québécois, du personnage du Père Noël, le 20 décembre 2020, qui, lors d’un
entretien télévisée, en compagnie de vous-même, en tant que Premier ministre du
Québec, a dit aux enfants que «Être vacciné, ça fait du bien à tout le monde ».10
Un tel exercice, notamment auprès des enfants, était indigne d’un gouvernement
et d’un premier ministre, notamment vu les risques graves et sérieux associés aux
vaccins administrés en lien avec la COVID-19, et constituait un exercice de
marketing honteux visant à promouvoir le vaccin COVID-19 auprès des enfants.
Considérant ce qui précède, la FDDLP soutien que la campagne de vaccination que
le gouvernement du Québec a mise en oeuvre et exécute depuis le 14 décembre
dernier est dangereuse pour la santé de la population et viole des règles de droit
international fondamentales et constitutionnelles, notamment celles exposées cidessous.
Les « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna constituant, selon certains
scientifiques, tel que le Professeur Perronne et la Dr Henrion-Caude, des thérapies
géniques et/ou une campagne expérimentale et/ou un projet de recherche
biomédicale, le Code de Nuremberg (décembre 1946 – août 1947) trouverait alors
application. Le Code de Nuremberg comporte une liste de dix critères quant aux
conditions que doivent satisfaire des expérimentations sur les humains, dont les
suivants :

«1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.
Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de
consentir;
2. L’expérience doit être telle qu’elle produise des résultats avantageux pour
le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou
moyens d’étude, et pas aléatoires ou superflues par nature;
(…)
4. L’expérience doit être conduite de façon telle que soient évitées toute
souffrance et toute atteinte, physiques et mentales, non nécessaires;
5. Aucune expérience ne doit être conduite lorsqu’il y a une raison a priori
de croire que la mort ou des blessures invalidantes surviendront; »
La Déclaration d’Helsinki de l’AMM – principes éthiques applicables à la recherche
médicale impliquant des êtres humains stipule notamment ce qui suit :
«4. Le devoir du médecin est de promouvoir et de sauvegarder la santé, le
bien-être et les droits des patients, y compris ceux des personnes
impliquées dans la recherche médicale. Le médecin consacre son savoir et
sa conscience à l’accomplissement de ce devoir.
(…)
Page 12 sur 18
9. Il est du devoir des médecins engagés dans la recherche médicale de
protéger la vie, la santé, la dignité, l’intégrité, le droit à l’auto-détermination,
la vie privée et la confidentialité des informations des personnes impliquées
dans la recherche. La responsabilité de protéger les personnes impliquées
dans la recherche doit toujours incomber à un médecin ou à un autre
professionnel de santé et jamais aux personnes impliquées dans la
recherche même si celles-ci ont donné leur consentement.
10. Dans la recherche médicale impliquant des êtres humains, les médecins
doivent tenir compte des normes et standards éthiques, légaux et
réglementaires applicables dans leur propre pays ainsi que des normes et
standards internationaux. Les protections garanties par la présente
Déclaration aux personnes impliquées dans la recherche ne peuvent être
restreintes ou exclues par aucune disposition éthique, légale ou
réglementaire, nationale ou internationale.
(...)
17. Toute recherche médicale impliquant des êtres humains doit
préalablement faire l’objet d’une évaluation soigneuse des risques et des
inconvénients prévisibles pour les personnes et les groupes impliqués, par
rapport aux bénéfices prévisibles pour eux et les autres personnes ou
groupes affectés par la pathologie étudiée.
Toutes les mesures destinées à réduire les risques doivent être mises en
œuvre. Les risques doivent être constamment surveillés, évalués et
documentés par le chercheur.
18. Les médecins ne peuvent pas s’engager dans une recherche impliquant
des êtres humains sans avoir la certitude que les risques ont été
correctement évalués et pourront être gérés de manière satisfaisante.
Lorsque les risques s’avèrent dépasser les bénéfices potentiels ou dès
l’instant où des conclusions définitives ont été démontrées, les médecins
doivent évaluer s’ils continuent, modifient ou cessent immédiatement une
recherche.
Image

MERCI MERCI !!! Enfin, le PM a eu de quoi réfléchir cette fin de semaine je crois.

Comprenez vous l'implication ?

Si le vaccin ne se qualifie pas de vaccin au sens juriridique, toutes les lois qui parlent de vaccination obligatoire en période de crise sanitaire ne s'appliquent pas. S'il s'agit d'un traitement non pas d’un vaccin, mais une thérapie génique, le Code de Nuremberg trouve application. Ils seront jugés ...

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par Ash » 30 janv. 2021, 12:19

jon8 a écrit :
29 janv. 2021, 15:43

Et c'est vraiment ce qu'une poignée d'individus en position de pouvoir tente de faire, inconsciemment, j'en suis sûr, ce qui est dans un sens encore plus inquiétant... L'expression d'un manque de courage, de sentimentalisme et d'ignorance.
Two
Le PM dévoile son processus d’analyse et de prise de décision :
« En fin de semaine, je dois encore peser le pour et le contre avant de trancher, dit-il sur Facebook. Comme premier ministre, je consulte beaucoup de monde avant de prendre des décisions ». Ces discussions sont toujours en cours avec notamment le directeur national de santé publique, le Dr Horacio Arruda.
Le premier ministre s’adresse directement à la population dans son message, manifestement soucieux de l’accueil qui sera réservé à son annonce. « Une fois que j’ai toutes les informations et l’avis de tout le monde, c’est à moi de prendre les décisions. Et c’est là que je pense le plus à vous. Je pense à ce qui me semble le mieux pour la population québécoise. Ce qui me guide dans le contexte actuel, c’est la prudence. »
https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-0 ... merces.php

Re: Se sacrifier jusqu'à quel point?

par jon8 » 29 janv. 2021, 15:43

Espérance de vie moyenne: 71,4 ans

1 million d'années en ''Temps de vie'' c'est donc la vie entière de 14 000 personnes.


Et en continuant dans la remise en perspective par les chiffres, si une vie entière (donc 71,4 ans) était dédiée à visionner au travers des yeux et du corps de chacun des humains, cette personne ne pourrait voir que ... un demi centième de seconde de chaque vie sur la terre.

1/200 seconde.

C'est difficile à imaginer tellement que c'est monstrueux, mais le Temps de vie total qui s'écoule en tout temps est gigantesque. Des secondes, des minutes, des heures de sommeil, d'éveil, de souffrance ou de bonheur, du bébé qui pleure à sa naissance au vieillard qui s'éteint dans son lit de mort.

C'est ridicule de penser arrêter le cours de la vie.

Et c'est vraiment ce qu'une poignée d'individus en position de pouvoir tente de faire, inconsciemment, j'en suis sûr, ce qui est dans un sens encore plus inquiétant... L'expression d'un manque de courage, de sentimentalisme et d'ignorance.

Haut