Comment distribuer ton 1% ? Le Festival de Jazz est rendu trop gros le FIJM et c'est loin d'être que du jazz. Il est essentiel qu'il soit subventionné et les Francofolies aussi mais les promoteurs avec la fausse méthodes des retombées économiques font croire que plus c'est gros, plus c'est rentable. Bien non c'est ta méthode qui voit des effets multiplicateurs à toutes les dépenses gouvernementales. Très bonne manière de justifier un gouffre financier, je ne dis pas qu'eux le sont mais sont surfinancés.
Et le Festival d'Été de Québec ? Un méchant deal pour les fans de show d'arénas... Mais culturellement l'apport peut être limité... Mais ce n'est pas juste la culture un festival, c'est la fête, l'esprit d'appartenance et tout dans ta collectivité.
C'est comme dans des municipalités, le cinéma en plein air pour les enfants, ils montrent des films populaires américains. Je metterais à l'affiche plus de cinéma d'ici et de France mais ils veulent du monde.
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Pour moi l'État prend trop de place mais en ne mettant pas assez d'argent.
C'est comme dans d'autres domaines. Allez le domaine forestier sur des terres de la Couronne.
Le rôle principal de l'État ? Cela devrait être au niveau des droits de coupe. Le reste ? Le moins possible. Oui du financement pour la R& D mais pas mettre des bois dans les roues.
Ce qu'ils font allègrement ici au Québec ou encore conseillent mal des jeunes entrepreneurs qui vont se casser la gueule.
L'État et les fonctionnaires même formés sont poches en commerce.
Pour le domaine de la musique ? Le hic c'est qu'il n'existe plus des Jacques Canetti :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Canetti
Un commercial et qui connaît le fonctionnement des choses mais qui aime les artistes pour de vrai et qui au final est lui aussi un artiste.
On se rapproche un peu du hasard ? Pas d'études de marché, tu fonctionnes à l'instinct. Cela ne pogne pas tout de suite ? Il faut persévérer. Le matraquage tu le fais mais avec de la qualité et de temps en temps tu donnes au public son nanane facile. Pour pas qu'ils t'abandonnent.
Tu éduques le public , un artiste doit être imposé et s'imposer. Et le public devenir en nombre suffisant et reconnaître le génie. Sauf que cela prend tu temps et de la patience. Les multinationales et autres firmes cotées en bourse ne l'ont pas.
Comment distribuer ton 1% ? Le Festival de Jazz est rendu trop gros le FIJM et c'est loin d'être que du jazz. Il est essentiel qu'il soit subventionné et les Francofolies aussi mais les promoteurs avec la fausse méthodes des retombées économiques font croire que plus c'est gros, plus c'est rentable. Bien non c'est ta méthode qui voit des effets multiplicateurs à toutes les dépenses gouvernementales. Très bonne manière de justifier un gouffre financier, je ne dis pas qu'eux le sont mais sont surfinancés.
Et le Festival d'Été de Québec ? Un méchant deal pour les fans de show d'arénas... Mais culturellement l'apport peut être limité... Mais ce n'est pas juste la culture un festival, c'est la fête, l'esprit d'appartenance et tout dans ta collectivité.
C'est comme dans des municipalités, le cinéma en plein air pour les enfants, ils montrent des films populaires américains. Je metterais à l'affiche plus de cinéma d'ici et de France mais ils veulent du monde.
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Pour moi l'État prend trop de place mais en ne mettant pas assez d'argent.
C'est comme dans d'autres domaines. Allez le domaine forestier sur des terres de la Couronne.
Le rôle principal de l'État ? Cela devrait être au niveau des droits de coupe. Le reste ? Le moins possible. Oui du financement pour la R& D mais pas mettre des bois dans les roues.
Ce qu'ils font allègrement ici au Québec ou encore conseillent mal des jeunes entrepreneurs qui vont se casser la gueule.
L'État et les fonctionnaires même formés sont poches en commerce.
Pour le domaine de la musique ? Le hic c'est qu'il n'existe plus des Jacques Canetti :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Canetti
Un commercial et qui connaît le fonctionnement des choses mais qui aime les artistes pour de vrai et qui au final est lui aussi un artiste.
On se rapproche un peu du hasard ? Pas d'études de marché, tu fonctionnes à l'instinct. Cela ne pogne pas tout de suite ? Il faut persévérer. Le matraquage tu le fais mais avec de la qualité et de temps en temps tu donnes au public son nanane facile. Pour pas qu'ils t'abandonnent.
Tu éduques le public , un artiste doit être imposé et s'imposer. Et le public devenir en nombre suffisant et reconnaître le génie. Sauf que cela prend tu temps et de la patience. Les multinationales et autres firmes cotées en bourse ne l'ont pas.