La fin d'un cycle ?

par jon8

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29 nov. 2017, 13:47

VanBasten a écrit :
29 nov. 2017, 12:48
'' si tu t'en vas habiter dans un secteur commercial qui accueille sa part de fêtards, imagine-pas avoir la quiétude d'une rue de Westmount . ''
Oui, c'st vrai mais c'est cas par cas et devrait être mieux planifié. Un locataire a droit à une jouissance paisible mais tout en acceptant les inconvénients normaux du voisinage.

Bon mais eux c'est même pas à la Régie du logement bien que là aussi cela devient parfois archi-politisé.

Ce sont les plaintes répétées à la police et qui donne amendes par-dessus amendes.

C'est pas juste à Montréal et sur le Plateau que cela arrive mais des cas où les deux bords font exprès pour s'écoeurer ou ne pas trouver de solution cela semble plus fréquent. Peut-être juste plus couvert.

Parfois le locataire est là en premier aussi. Le Café Campus lui c'était dans un secteur relativement plus tranquille et ils ont déménagé.

Pour le cas du Divan Orange, je pense que le ou les propriétaires de l'immeuble ne se sont pas montrer la face dans les médias dans cette saga.

La ville, la police, la coopérative exploitant la salle, la locataire et les propriétaires immobilier.

Je dis être propriétaire de l'immeuble mais à Montréal plusieurs sur la même rue appartiennent au même et collés.

Pour des locataires aussi du haut, il y en a toujours eu dans ses bâtiments là et pas juste à Montréal.

Les conflits sont normaux mais de ne pas trouver de solution c'est exaspérant, il faudrait en trouver avant que cela se retrouve dans les médias ou encore quand cela se retrouve dans les médias,commencer à faire chacun votre bout de chemin pour que ce ne soit pas une saga et que vous puissiez annoncer une entente.

C'est un défi. Puis en même temps ceux qui se lancent là-dedans comme ceux d'affaires prennent des risques, puis dans le secteur culturel et un genre d'OSBL, les gens peuvent être idéalistes et un peu trop utopistes cela dépend.

C'est la mauvaise foi, l'entêtement, la bureaucratie trop lourde ou le manque de jugement qu'on aime pas. Puis à Montréal c'est tellement gros, les policiers peuvent ne jamais être les mêmes et appliquer les règlements à la lettre plutôt que de faire preuve de jugement.Et ailleurs aussi cela devient de même avec la fusion passée des corps de police.

Que le monde se parlent et règlent leurs problèmes. Sauf que cela se fait probablement et en masse encore mais les médias vont juste parler des cas qui vont mal et la saga est quasiment rentable pour eux.

Les médias aident alors à dévaloriser le secteur ou à augmenter les préjugés.

Le gars de Val-d'Or qui habite sur le Plateau et qui y est encore, il semble y être bien et pour s'être fait traité de douchebag? C'est pas des gens de banlieue que cela lui est arrivé. D'après ce que j'ai vu.

Pour le reste cette saga là, je l'ai juste suivie sur internet.

Pour le Continental c'était différent et non annoncé mais ils arrêtaient pas de dire qu'il y a du stationnement. Quand leur chef ,la femme est partie là cela commençait à baisser plus, ils en ont eu un autre je pense Jordan son prénom et après ils l'ont remplacé par 3 membres du staff, donc ils le savaient qu'ils allaient fermer.

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29 nov. 2017, 13:53

Sur Wikipédia ils définissent l'endroit comme une coopérative de travail.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Divan_Orange


J'étais allé dans l'est sur la Sainte-Catherine près du Stade Olympique. Ce café qui présentait des concerts est fermé depuis longtemps je crois.

Pour les coopératives de travail à une époque le Saint-Hubert de Brossard en était une.

Cela peut marcher pour de vrai et dans l'intérêt des employés.

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29 nov. 2017, 14:04

L'article d'Alain, oui c'est bien une coopérative de travail.

http://www.lapresse.ca/arts/musique/201 ... -porte.php


Mais je vois les ''défauts'' du milieu et milieu qui s'il veut des fonds doit composer avec la bureaucratie et déjà rien qu'exploiter une entreprise, la bureaucratie peut te mettre des bois dans les roues et même si tu es une entreprise d'économie sociale disons.

Il faut être créatif en svp mais cela peut tout simplement ne pas ou ne plus être viable, il y a rien à faire ou bien si la solution est vraiment politique bien mettez sur pied la bonne organisation pour représenter le milieu et quand les conditions seront meilleures là vous reviendrez.

Le barman est pas pour donner la moitié de sa paye pour faire vivre la salle plus ajouter des centaines d'heures bénévoles.

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29 nov. 2017, 14:08

Ont-ils, avaient-ils un comptable aussi, un bureau de comptables qui les conseillait où ils ont pas les moyens de payer cela ?

Un comptable qui aurait plusieurs clients dans le domaine.

Pourquoi ? Bien tiens , c'est mon ex-patron lui qui allait négocier des choses pour les clients. Bien une dentiste ce n'est pas comme une salle de spectacle c'est sûr mais un homme comme mon ex-patron mais qui serait dans ce secteur là pourrait aider.

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29 nov. 2017, 14:12

'' Les seuls revenus de la coopérative proviennent de la vente d'alcool; dans la majorité des cas, la salle est louée aux promoteurs ou aux groupes qui conservent les revenus de la porte. ''

'' Pourtant, le Divan Orange ne souffre pas d'un déclin de son achalandage, fait observer Julien Senez-Gagnon. ''

Parlez-moi plutôt de votre chiffre d'affaires . Et j'aimerais même voir vos états financiers complets si possible. Ce que vous avez...

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29 nov. 2017, 14:16

Pour Seligman de Pop Montréal, un diplômé de McGill.

https://ca.linkedin.com/in/daniel-seligman-96011248


Il peut avoir les bonnes études mais il faudrait parler aussi à un directeur administratif et non juste celui de la création.

Afin de régler ses problèmes là et laisser les artistes dans la création, ils peuvent toujours avoir des aspirations politiques mais si tu frappes de la bureaucratie à la place...

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29 nov. 2017, 14:22

Lui avec c'est un homme de création et c'est parfait mais cela te prend des amis d'administration, de commerce,de finance pour t'aider sinon.

http://www.bondyblog.fr/201408022009/mu ... h8HzlXibIU


Puis encore cela dépend du cadre d'exercice aussi. Dans un domaine tout autant sans but lucratif et axé sur l'excellence bien il y a du mécénat et le père d'une athlète qui a maintenant terminée ses études est le président de la fondation et ils viennent de faire un don de plus de 1,2 million à l'Université Concordia. L'homme est en finance et sa fille aussi a son diplôme en finance de McGill.

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29 nov. 2017, 14:26

C'est comme le modèle RIASEC, tu peux toujours avoir toutes les lettres en toi mais des traits sont dominants dans une personnalité, cela veut pas dire que tous les membres d'une profession sont pareils.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_RIASEC


Qui se ressemble s'assemble mais cela peut manquer de diversité dans les expertises ou les façons de voir. Il faut pareil trouver des gens qui peuvent s'entendre et ont des valeurs et des objectifs communs.

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29 nov. 2017, 14:28

C'est le gars de création qui vient parler alors que ce sont des problèmes d'administration, de marketing aussi et de reconnaissances.

Cela prendrait des avocats de votre bord aussi, des médecins ou dentistes, des comptables et des financiers. Entre autres.

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29 nov. 2017, 14:33

http://www.lapresse.ca/arts/musique/201 ... popolo.php


Cela date de 2010 mais un autre artiste à 100% et promo aussi dans le domaine.

Il doit être épaulé.

En étant créatif tu peux être plus entrepreneur que le formé en administration/commerce mais il peut te manquer des choses niveau gestion.

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29 nov. 2017, 14:39

Senez-Gagnon c'est un musicien lui-même en plus de travailler là ?

https://voir.ca/musique/2014/02/24/heav ... -le-monde/


Pour les artisans c'est parfait mais ayez des amis avec un autre background et oui avec du cash aussi. Ils sont très rares ?

Ou pas obligé qu'il soit investisseur juste un conseiller honnête. Vous en avez déjà ?

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29 nov. 2017, 14:47

Dernière édition par Verbo le 29 nov. 2017, 15:21, édité 1 fois.