La Boîte Noire c'est vraiment le cycle de vie du produit et bien des Superclub Videotron. Un, par exemple,pouvait très bien fonctionner pendant des années mais malheureusement cela a terminé par une faillite. Le secteur était en plein déclin.
Même Le Continental, la clientèle est déplacée, c'est le cycle de vie du commerce aussi, l'autre avant c'étaient des clubs vidéos. Non mais pour le Conti avant la fermeture il leur restait des belles années mais tu t'en aperçois un moment donné que ce n'est plus possible, il y a quand même un restaurant au même endroit mais pas le même qui avait pris leur place quand ils sont partis. Certains durent pas longtemps.
lls sont rendus avec leur bar à vin, la sommelière du Conti est rendue dans un autre domaine.
Dans les centres commerciaux, cela change fréquemment les commerces. Sur McGill College aussi.
Dans le domaine plus culturel et à but non-lucratif ils parlent de bien des choses et avec idéalisme mais il peut manquer de pragmatisme.
Cela arrive dans le cinéma, par exemple, Guzzo peut être le seul qui a le point de vue intéressant du point de vue commercial mais culturellement il peut être maladroit ou brusque ou décevant. Alors que ceux qui géraient l'Excentris avaient une vision administrative qui semble impossible à rendre cela viable.
Pour le Beaubien bien là ils ont bien des choses pour maintenir la viabilité semble-t-il.
Pour la Cinémathèque bien c'est plus gouvernemental et toujours en danger mais essentiel en même temps.
Le Théâtre Outremont? C'est ouvert dans le moment et j'y suis allé l'hiver dernier. Si tu dépends de fonds publics bien là aussi tu es dans l'incertitude des décisions politiques.
Si tu dépends de mécènes ou de dons c'est pour le bon vouloir. Une athlète-étudiante dans sa campagne pour aller aux Universiades l'an passé a amassé plus de la moitié que le Divan Orange a fait dans une ou l'autre de ces campagnes. Son université a aussi contribué,ses parents, amis, coéquipières, le député, son dentiste, etc. Pour ne pas être obligée de tout payer de sa poche pour aller représenter le Canada. La sienne ou celle de ses parents.
Il y a des externalités mais le milieu veut plus faire payer le gouvernement du Québec, par exemple, que de faire payer, ceux qui profitent vraiment que ce soit pour les mélomanes, les cinéphiles ou les amateurs de livres.
Par contre, c'est bien vrai que les gros Festivals monopolisent tout l'argent et font croire que plus ils sont gros plus cela est rentable pour l'économie, la culture et le social. Ils ont point sur la taille minimale ou la masse critique pour être efficace mais les retombées économiques ce n'est pas la rentabilité. Ce sont des biens privés un moment donné et tu ne donnes plus d'externalités, tu fais juste faire plus d'argent à Spectra par exemple.Ce peut être plus le fun pour la clientèle aussi mais il y a des limites à payer ce sont des fonds publics.
Il faut que ce soit penser d'avance cette politique là d'attribution des fonds mais la méthodes des retombées économiques est pratique pour les fonctionnaires et pour les politiciens et les artistes en parlent.
C'est le patrimoine culturel, c'est la création ? C'est l'innovation et sa diffusion ? Cela pourrait mériter des subventions. Mais c'est difficile à mesurer cela. Cela prendrait juste des décideurs visionnaires et avec du jugement mais le milieu structurez-vous mieux et faîtes de l'entrepreneuriat culturel plutôt qu'essentiellement politique.
Certains ont peut-être les deux mais je trouve que la mentalité de syndicaliste devient un peu incompatible. Mais tu es champ gauche et dans le social et le culturel.
http://www.hec.ca/programmes/dess/dess- ... culturels/
Où sont les diplômés HEC ?