La fin d'un cycle ?

par jon8

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VanBasten
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Inscription : 18 mai 2017, 22:59

29 nov. 2017, 14:55

jon8 a écrit :
29 nov. 2017, 13:42
autre chose: c'est rare que tu vas pouvoir ''essayer'' pendant une semaine de dormir dans une future habitation que tu souhaites acheter... Normalement, tu achètes pis ensuite tu vois comment ça se passe pendant la nuit. L'agent immobilier est tenu de te dire si c'est bruyant? Est-ce considéré comme un vice caché? Si c'est le cas, la valeur de l'habitation baisse ou c'est rendu carrément invendable?

Sachant que du soundproofing c'est extrêmement dispendieux et parfois carrément impossible, la seule solution possible parfois c'est de réduire le bruit à la source. Une campagne de sensibilisation est en cours dans mon coin ( '' Le Bruit ça Nuit '' ) mais il s'agit que tu pognes un tarla saoûl qui n'est pas ''sensibilisé'' et ça réveille tout le monde...
Justement avant d'acheter ou de louer si tu vois que tes "voisins" c'est des bars ou des trucs du genre assume en conséquence que ça ne sera pas aussi silencieux que le 5e rang à St-Glinglin de Matane , tsé si la vue d'un corbillard te stresse t'aménage pas proche d'un cimetière.

Si un bar ouvre dans un endroit de maisons privées là tu as un cas fondé ou c'est au nouvel arrivé de ne pas scrapper la relative quiétude du voisinnage.


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jon8
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29 nov. 2017, 19:56

VanBasten a écrit :
29 nov. 2017, 14:55
jon8 a écrit :
29 nov. 2017, 13:42
autre chose: c'est rare que tu vas pouvoir ''essayer'' pendant une semaine de dormir dans une future habitation que tu souhaites acheter... Normalement, tu achètes pis ensuite tu vois comment ça se passe pendant la nuit. L'agent immobilier est tenu de te dire si c'est bruyant? Est-ce considéré comme un vice caché? Si c'est le cas, la valeur de l'habitation baisse ou c'est rendu carrément invendable?

Sachant que du soundproofing c'est extrêmement dispendieux et parfois carrément impossible, la seule solution possible parfois c'est de réduire le bruit à la source. Une campagne de sensibilisation est en cours dans mon coin ( '' Le Bruit ça Nuit '' ) mais il s'agit que tu pognes un tarla saoûl qui n'est pas ''sensibilisé'' et ça réveille tout le monde...
Justement avant d'acheter ou de louer si tu vois que tes "voisins" c'est des bars ou des trucs du genre assume en conséquence que ça ne sera pas aussi silencieux que le 5e rang à St-Glinglin de Matane , tsé si la vue d'un corbillard te stresse t'aménage pas proche d'un cimetière.

Si un bar ouvre dans un endroit de maisons privées là tu as un cas fondé ou c'est au nouvel arrivé de ne pas scrapper la relative quiétude du voisinnage.
Le problème, en réalité, c'est une question d'urbanisme.

L'immobilier-mère, c'est l'habitation résidentiel... avant le bar. Not the other way around. À moins de commencer à bâtir de la résidence dans un quartier industriel ou fondamentalement commercial depuis le tout début, c'est ce qui était là avant qui a préséance.

Aussi, une habitation résidentielle ne sera jamais dérangeante pour un commerce ou une industrie. Par contre, à l'inverse....

Bref, ce sont des cas où la ville et ses urbanistes ont, au fil du temps, gérer la chose et livré des permis comme des taouins. Dans les faits, les droits des uns arrêtent là où celle des autres commencent. Dans ce cas-ci, clairement, le droit de dormir la nuit prime sur le droit d'opérer un bar.
Soit le bar ou resto peut gérer sa clientèle, ou alors le nombre de plainte augmente jusqu'aux conséquences que ça donne. Simple logique.

Je suis assez rigide sur cette question là, justement, parce que j'ai vécu souvent le côté de celui dont son sommeil est atteint. Bien facile de dire que si tu choisis de vivre en ville tu dois t'attendre à du bruit,, mais il y a des nuances, non? À un certain point, l'endroit devient invivable (littéralement) et la place n'est plus habitable sauf par du monde sourd. Aucun sens. Ca voudrait dire que la ville doit carrément dézoner et ne plus accepter que ce soit résidentiel... j'veux dire: ca va jusque là si on suit la logique. L'idée même du zonage ça sert à ça, mettre des balises sur ce qui se passe sur les terrains. Si une cohabitation ne fonctionne pas, je pense que c'est le bar/resto qui doit foutre le camp. Le zone est commercial, un autre TYPE de commerce peut s'y établir, en bonne cohabitation... Pourquoi délocaliser un ou des résidences? Voilà, CQFD,.

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jon8
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29 nov. 2017, 20:03

en fait, pire que ça: juste au niveau purement légal et financier...

SI, je voyais la valeur de ma propriété CHUTER parce que trop de bruit dans mon coin, à cause des bars et des restos, c'est CERTAIN que j'entame des démarches légales.... right off!

Heureusement, ce n'est pas le cas. Mais j'imagine très bien des cas où ça peut arriver. Où une situation tolérable se transforme en situation intolérable.

Encore une fois: l'histoire d'interdire de fumer dans les restos/bars a produit une nouvelle dynamique qui est problématique (activité bruyante qui se transporte devant le bar/resto).... Bref, on teste visiblement les limites de chacun, un peu partout. C'est une problématique assez insoluble parce que technologiquement, il n'y a pas de miracle et la sensibilisation a ses limites.

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jon8
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29 nov. 2017, 20:20

dans le cas particulier du Divan Orange, et suite à la lecture du texte, c'est assez évident que l'histoire des plaintes pour le bruit n'est qu'un facteur parmis tant d'autres...

pas besoin de lire entre les lignes très très longtemps pour comprendre que le modèle d'affaire n'était juste pas viable. Le temps que j'ai habité sur le plateau, j'ai été témoin de je-n'sais-pas-combien de commerces inaugurés dans la joie et l'optimisme débridé de l'entrepreneur(e) néophyte... pour fermer quelques mois plus tard, désillusionné et toujours hébété par l'incompréhension totale de son échec.

Dans les faits, certains projets sont condamnés dès le jour 1, dans l'oeuf. Certains, aussi, réuissisent à survivre... Bénévolat, injection de fonds par la famille, les amis, des employés, même! Mais dans les faits, le modèle d'affaire est structurellement non-viable. La profitabilité potentielle est une illusion ET même la rentabilité éventuelle est un défi considérable...

La Boite Noire. Par exemple. I mean... seriously? Triste perte, bien sûr, ça m'a fait chier solide, perso... J'étais un tab&*%% quand ça a fermé. Mais en même temps, c'était pas prévisible juste un peu? C'était crissement prévisible, oui!

Bottomline, on ne peut pas blâmer tout et n'importe quoi pour l'échec d'une business ou d'un projet. Des fois, c'est juste pas, ou plus, une bonne idée.

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29 nov. 2017, 22:24

La Boîte Noire c'est vraiment le cycle de vie du produit et bien des Superclub Videotron. Un, par exemple,pouvait très bien fonctionner pendant des années mais malheureusement cela a terminé par une faillite. Le secteur était en plein déclin.

Même Le Continental, la clientèle est déplacée, c'est le cycle de vie du commerce aussi, l'autre avant c'étaient des clubs vidéos. Non mais pour le Conti avant la fermeture il leur restait des belles années mais tu t'en aperçois un moment donné que ce n'est plus possible, il y a quand même un restaurant au même endroit mais pas le même qui avait pris leur place quand ils sont partis. Certains durent pas longtemps.

lls sont rendus avec leur bar à vin, la sommelière du Conti est rendue dans un autre domaine.

Dans les centres commerciaux, cela change fréquemment les commerces. Sur McGill College aussi.

Dans le domaine plus culturel et à but non-lucratif ils parlent de bien des choses et avec idéalisme mais il peut manquer de pragmatisme.

Cela arrive dans le cinéma, par exemple, Guzzo peut être le seul qui a le point de vue intéressant du point de vue commercial mais culturellement il peut être maladroit ou brusque ou décevant. Alors que ceux qui géraient l'Excentris avaient une vision administrative qui semble impossible à rendre cela viable.

Pour le Beaubien bien là ils ont bien des choses pour maintenir la viabilité semble-t-il.

Pour la Cinémathèque bien c'est plus gouvernemental et toujours en danger mais essentiel en même temps.

Le Théâtre Outremont? C'est ouvert dans le moment et j'y suis allé l'hiver dernier. Si tu dépends de fonds publics bien là aussi tu es dans l'incertitude des décisions politiques.

Si tu dépends de mécènes ou de dons c'est pour le bon vouloir. Une athlète-étudiante dans sa campagne pour aller aux Universiades l'an passé a amassé plus de la moitié que le Divan Orange a fait dans une ou l'autre de ces campagnes. Son université a aussi contribué,ses parents, amis, coéquipières, le député, son dentiste, etc. Pour ne pas être obligée de tout payer de sa poche pour aller représenter le Canada. La sienne ou celle de ses parents.

Il y a des externalités mais le milieu veut plus faire payer le gouvernement du Québec, par exemple, que de faire payer, ceux qui profitent vraiment que ce soit pour les mélomanes, les cinéphiles ou les amateurs de livres.

Par contre, c'est bien vrai que les gros Festivals monopolisent tout l'argent et font croire que plus ils sont gros plus cela est rentable pour l'économie, la culture et le social. Ils ont point sur la taille minimale ou la masse critique pour être efficace mais les retombées économiques ce n'est pas la rentabilité. Ce sont des biens privés un moment donné et tu ne donnes plus d'externalités, tu fais juste faire plus d'argent à Spectra par exemple.Ce peut être plus le fun pour la clientèle aussi mais il y a des limites à payer ce sont des fonds publics.

Il faut que ce soit penser d'avance cette politique là d'attribution des fonds mais la méthodes des retombées économiques est pratique pour les fonctionnaires et pour les politiciens et les artistes en parlent.

C'est le patrimoine culturel, c'est la création ? C'est l'innovation et sa diffusion ? Cela pourrait mériter des subventions. Mais c'est difficile à mesurer cela. Cela prendrait juste des décideurs visionnaires et avec du jugement mais le milieu structurez-vous mieux et faîtes de l'entrepreneuriat culturel plutôt qu'essentiellement politique.

Certains ont peut-être les deux mais je trouve que la mentalité de syndicaliste devient un peu incompatible. Mais tu es champ gauche et dans le social et le culturel.

http://www.hec.ca/programmes/dess/dess- ... culturels/


Où sont les diplômés HEC ?

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29 nov. 2017, 22:38

Des commerces font leur temps aussi ou pas de relève ni pour travailler ni chez la clientèle, ils appartiennent à une autre époque et même si cela remonte pas si loin en arrière.

Pour Montréal sur McGill College cela change, les épiceries changent ailleurs, imaginez le Loblaw à Brossard derrière le Terminus Panama qui aurait imaginé que cela ferme ? Le marché bouge tout le temps, le modèle de Porter, l'environnement est changeant.

On essaye de faire de l'entrepreneuriat politique, comme des gens recevant peut-être des subventions mais d'excellents producteurs.Bien il est rendu à l'ADISQ, ce qui fait presque penser à un gros syndicat comme l'UPA.

Mais vous les petites genre Divan Orange! Il faut être créatif et peut-être penser à une aide de l'État mais en dernier quand tout sera bien ficelé. Oui,en se regroupant aussi mais en ayant des projets qui sont bons.

Oui, ils disent juste un petit 10% ? Pendant combien de temps ce serait suffisant avant qu'ils demandent plus ?

Cela ne veut pas dire que c'est facile cela veut dire d'être très bien préparé et à la limite tu n'as pas besoin de l'État mais avec sa contribution cela aiderait à la pérennité et il y a des vraies externalités , alors que l'État paye pour cela mais l'État ne mettera pas cela en place, juste son programme de subventions.

C'est rempli de gens créatifs avec de bonnes idées mais combien de bons administrateurs et qui respectent les artistes ?

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30 nov. 2017, 09:28

Ils ne discutent pas de solutions ou restent trop vagues mais parlent juste du financement par l'État.

Se prendre en main c'est cela pour cette pensée gogauche. Toujours les fonds publics, je me souviens les Francofolies eux bien plus gros nous demandant d'acheter un bracelet. Why not ? Ne veulent pas faire cela à tous les ans pour ne pas passer pour des quêteux ! Alors ils aiment mieux demander plus d'argent à l'État. L'inverse du bon sens. Il faut que ce soit l'utilisateur-payeur en premier car il y a un bien privé, ensuite la commandite, les dons et finalement les pouvoirs publics qui viennent ajouter à ce que le milieu fait lui même. Des universités comprennent mieux. Il y avait une campagne et ce mardi pour chaque don, qui donnait le double ?

Il faut utiliser un peu les techniques du privé et impliquer le milieu.

Tout l'argent va à la porte ? Et si on montait le prix des billets disons en moyenne de 3$ et qui serait versé directement au Divan Orange ? Tu prends juste un verre dans la soirée ?Allez go pour deux ! Va-z-y avant !

Pour le TNM, le Café du Nouveau Monde, les revenus sont bons et sont aux mêmes états financiers ? Disons que ce serait un repas pour 65$ et tu vas voir le théâtre au balcon. Chacun ses choix.

Eux ils reçoivent de l'argent puis oui ce peut être qualifié de théâtre bourgeois en partie, je me souviens de ma fin de repas avec ma dame millionnaire. Pas important la fortune. Il n'y avait pas vraiment d'autre place pour elle et elle me le demande poliment. Venez et alors on parle. Elle avait été abonnée à l'OSM aussi si elle ne l'était pas encore. Perso, j'aime mieux à la carte. Le théâtre malheureusement j'y vais très, très peu mais si je pouvais je le ferais mais à la carte aussi bien que cela peut être pratique d'avoir ses endroits fétiches.

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30 nov. 2017, 10:43

Qobuz peuvent être des genres d'alliés des audiophiles et de ceux impliqués dans la production de matériel audio. Alors leur survie est importante même si c'est en Europe. Pour vous mais aussi pour les artistes.

Par contre les artistes doivent être multi-plateformes. Tu peux pareil choisir parmi ton oeuvre ce que tu envoies. Bon mais comme artiste tu es tellement une TTE ('tite, 'tite entreprise) que tu n'influences pas beaucoup le système mais c'est tes affaires que tu dois regarder en premier.Occupe-toi de ta business plutôt que de courir toutes les manifestations à moins que ce soit cela ta business ?

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30 nov. 2017, 17:06

jon8 a écrit :
29 nov. 2017, 20:20
dans le cas particulier du Divan Orange, et suite à la lecture du texte, c'est assez évident que l'histoire des plaintes pour le bruit n'est qu'un facteur parmis tant d'autres...

pas besoin de lire entre les lignes très très longtemps pour comprendre que le modèle d'affaire n'était juste pas viable. Le temps que j'ai habité sur le plateau, j'ai été témoin de je-n'sais-pas-combien de commerces inaugurés dans la joie et l'optimisme débridé de l'entrepreneur(e) néophyte... pour fermer quelques mois plus tard, désillusionné et toujours hébété par l'incompréhension totale de son échec.

Dans les faits, certains projets sont condamnés dès le jour 1, dans l'oeuf. Certains, aussi, réuissisent à survivre... Bénévolat, injection de fonds par la famille, les amis, des employés, même! Mais dans les faits, le modèle d'affaire est structurellement non-viable. La profitabilité potentielle est une illusion ET même la rentabilité éventuelle est un défi considérable...

La Boite Noire. Par exemple. I mean... seriously? Triste perte, bien sûr, ça m'a fait chier solide, perso... J'étais un tab&*%% quand ça a fermé. Mais en même temps, c'était pas prévisible juste un peu? C'était crissement prévisible, oui!

Bottomline, on ne peut pas blâmer tout et n'importe quoi pour l'échec d'une business ou d'un projet. Des fois, c'est juste pas, ou plus, une bonne idée.
Donc, les établissements de diffusion culturelle doivent se soumettre aux lois du marché, au même titre que la boutique de godasses ou le magasin de meubles? Drôle de statement pour un gars qui trippe zizique comme toi.

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30 nov. 2017, 18:32

Les lois du marché s'appliquent tout le monde tu ne peux pas y échapper, ce n'est pas une fiction c'est la réalité mais...

Puisqu'il y externalités positives, le bruit lui en étant une négative, et que la culture est un bien public, des interventions de l'État peuvent être nécessaires.

Par ailleurs être membres de la société suivante, c'est bon pour tous les commerçants et salles de spectacles là :

http://boulevardsaintlaurent.com/fr/


Pour l'aspect bien privé les lois du marché s'appliquent au moins en partie, ils iront pas sinon que la personne porte à gauche ou à droite si le loyer est trop élevé , elle ne peut plus le payer. Mais si un mécène possède les immeubles et vous laisse occuper la place à prix de faveur sous le marché bien cela peut vous aider.

Pas gratuit mais un loyer modique. Ce peut être une association, une fondation.

Charger un peu plus cher à la porte et en donner une partie à l'équipe du Divan Orange , cela ne pouvait pas se faire ?

Ils ont dû essayer plein de choses ou penser. S'il y a pas de solution, il y en a pas.

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jon8
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01 déc. 2017, 11:24

Donc, les établissements de diffusion culturelle doivent se soumettre aux lois du marché, au même titre que la boutique de godasses ou le magasin de meubles? Drôle de statement pour un gars qui trippe zizique comme toi.
Merci.

Je suis assez heureux de ne pas avoir de principes à géométrie variable, en effet.

La ''diffusion culturelle'', c'est assez loin dans la pyramide de Maslow... Idem pour le site où j'écris en ce moment.