Certes je ne suis pas un programmateur mais un petit consommateur, leur critique est plus du côté de l'offre et des opportunités offertes et je suis d'accord avec elles là-dessus c'est sur des quotas ou un réglementation systémique et systématique avec quoi je ne suis pas d'accord.
Avec l'égalitarisme non plus. Égalité des chances oui mais pas standardisation.
Il n'est pas mononcle du tout, il est plutôt un peu mou bien qu'il aurait pu plus nuancer. Sauf qu'être obligé de dire la même chose que la doxa féministe cela fait manque de colonne sur les bords.
http://www.lapresse.ca/arts/musique/201 ... -culpa.php
'' et si on fait tout 50-50, j'ai peur que ça donne des programmations grises '' Il a raison à 100% là-dessus mais Laurence Nerbonne interprète cela comme s'il disait que 50-50 c'était automatiquement plate . Pas du tout ! Je veux juste être libre d'avoir 80% de femmes si je veux.
Pour les techniciennes ? Je serais surpris que 50-50 soit l'équité. Mais je suis sûr qu'il y a des femmes plus qu'excellentes . Puis oui, il y a des débutantes comme des débutants aussi, il faut que quelqu'un leur donne une chance mais c'est pas l'artiste comme tel c'est un ou une responsable de la technique. Dans ton équipe forte, il faut du sang neuf.
Les paradigmes sociaux peuvent et doivent changer ? Au détriment de la liberté artistique ou d'association ?
Un groupe de femmes doivent -elles se transformer en groupe mixte ?
Je préfère pas de quotas mais quand il y a pas d'ouvertures suffisantes quand ils le font pas je les envisage.
Mais j'aime mieux ceux et celles qui foncent !!! Si je vais au Festival Nuits d'Afrique c'est pas pour voir des blancs québécois mais il peut y avoir des exceptions et les programmateurs les mettent. Oui car leur musique est africaine en bonne partie.
50-50 cela ne peut pas être partout et l'équité cela varie. Il y a quand même des abus forçant la réglementation. Le patrimoine familial pour les mariages cela devenait en moyenne plus équitable. Mais cela a contribué à faire baisser le nombre de mariages ou l'inverse ?