Dès la première écoute, on se rend compte que c'est du méga solide.
Déjà, on sait que Anders Trentemøller est talentueux, mais le Last Resort de 2007 qui a changé sa carrière (et la musique électronique...) commence à dater un brin.
Là, on découvre une facette très différente de l'artiste. Résolument rock-ish et même pop-ish parfois, mais toujours aussi ambient, electro, avec une touche de vocal et une saveur expérimentale particulièrement bien maitrisée. C'est fort, c'est fort en crisse.
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