En rétro-écoute...

par aevus

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11 mai 2020, 22:01

jon8 a écrit :
11 mai 2020, 20:58

Wow quelle histoire!!

c'est quoi exactement la raison de son arrêt dans les années 70?
C'est pas très clair, tout ça. Ce qu'on sait, c'est qu'à la fin des années soixante, Grimes a quitté New-York pour la Californie. Là-bas, il a rencontré de sérieuses difficultés financières et des problèmes de santé. Il aurait alors vendu sa contrebasse et disparu de la vie publique.

Sa version à lui, c'est que déjà à New-York, il avait des problèmes d'argent et qu'il se serait rendu en Californie parce que le soleil y brillait plus et qu'il ne voulait pas courir le risque de vivre dans la rue à New-York où l'hiver est plus froid.

Nébuleux...

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Inscription : 24 mai 2017, 11:45

11 mai 2020, 23:31



On en a déjà parlé: le Miles Davis que je préfère est celui de la période de la fin des années soixante, début soixante-dix. De ce que Davis a sorti à cette époque, à prime abord, le jazz-rock de "A Tribute to Jack Johnson" me parle moins que les plus subtils "In a Silent Way", "Bitches' Brew" et "On the Corner". Sauf qu'il se passe tellement de choses dans la musique contenue sur cet album que son écoute finit par être fascinante. Un génie, ce Miles!

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12 mai 2020, 11:03

chibougue a écrit :
11 mai 2020, 22:01
jon8 a écrit :
11 mai 2020, 20:58

Wow quelle histoire!!

c'est quoi exactement la raison de son arrêt dans les années 70?
C'est pas très clair, tout ça. Ce qu'on sait, c'est qu'à la fin des années soixante, Grimes a quitté New-York pour la Californie. Là-bas, il a rencontré de sérieuses difficultés financières et des problèmes de santé. Il aurait alors vendu sa contrebasse et disparu de la vie publique.

Sa version à lui, c'est que déjà à New-York, il avait des problèmes d'argent et qu'il se serait rendu en Californie parce que le soleil y brillait plus et qu'il ne voulait pas courir le risque de vivre dans la rue à New-York où l'hiver est plus froid.

Nébuleux...
Ferait un excellent film à mon avis, pas un docu, mais un long-métrage très épuré, contemplatif même.

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12 mai 2020, 11:03

chibougue a écrit :
11 mai 2020, 23:31


On en a déjà parlé: le Miles Davis que je préfère est celui de la période de la fin des années soixante, début soixante-dix. De ce que Davis a sorti à cette époque, à prime abord, le jazz-rock de "A Tribute to Jack Johnson" me parle moins que les plus subtils "In a Silent Way", "Bitches' Brew" et "On the Corner". Sauf qu'il se passe tellement de choses dans la musique contenue sur cet album que son écoute finit par être fascinante. Un génie, ce Miles!
Oui, irremplacable.

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12 mai 2020, 18:08

jon8 a écrit :
12 mai 2020, 11:03
chibougue a écrit :
11 mai 2020, 22:01
jon8 a écrit :
11 mai 2020, 20:58

Wow quelle histoire!!

c'est quoi exactement la raison de son arrêt dans les années 70?
C'est pas très clair, tout ça. Ce qu'on sait, c'est qu'à la fin des années soixante, Grimes a quitté New-York pour la Californie. Là-bas, il a rencontré de sérieuses difficultés financières et des problèmes de santé. Il aurait alors vendu sa contrebasse et disparu de la vie publique.

Sa version à lui, c'est que déjà à New-York, il avait des problèmes d'argent et qu'il se serait rendu en Californie parce que le soleil y brillait plus et qu'il ne voulait pas courir le risque de vivre dans la rue à New-York où l'hiver est plus froid.

Nébuleux...
Ferait un excellent film à mon avis, pas un docu, mais un long-métrage très épuré, contemplatif même.
D'accord avec toi! Il y aurait un bon film à faire avec ça!

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14 mai 2020, 23:29



Un classique pas classique pantoute bikoze c'est complètement fou c't'affaire-là!

:music: :excellent: :music:

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02 juin 2020, 22:07



Pas cheapette du tout, la musique de Iasos. Par bouts, ça me fait penser à du Alice Coltrane ou a du Terry Riley.

:headphone:

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09 juin 2020, 22:17

Harald Grosskopf - Synthesist (1980)

Un (presque) classique oublié de la scène électro allemande.


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10 juin 2020, 22:21

Céleste, en effet!


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14 juin 2020, 08:24

Quand on pense à la musique électro allemande des années 70, le nom de Kraftwerk vient immédiatement à l'esprit. Mais d'autres formations ont également contribué à définir le genre. Cluster, par exemple. Leur son se rapproche davantage de l'ambient. Après ce superbe album qui date de 1976, Brian Eno allait d'ailleurs se joindre à la formation.


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15 juin 2020, 23:18

Je viens tout juste d'écouter le seul album de monsieur Henry Grimes en tant que leader. Ça date de 1965 et c'est très bon!


chibougue a écrit :
12 mai 2020, 18:08
jon8 a écrit :
12 mai 2020, 11:03
chibougue a écrit :
11 mai 2020, 22:01


C'est pas très clair, tout ça. Ce qu'on sait, c'est qu'à la fin des années soixante, Grimes a quitté New-York pour la Californie. Là-bas, il a rencontré de sérieuses difficultés financières et des problèmes de santé. Il aurait alors vendu sa contrebasse et disparu de la vie publique.

Sa version à lui, c'est que déjà à New-York, il avait des problèmes d'argent et qu'il se serait rendu en Californie parce que le soleil y brillait plus et qu'il ne voulait pas courir le risque de vivre dans la rue à New-York où l'hiver est plus froid.

Nébuleux...
Ferait un excellent film à mon avis, pas un docu, mais un long-métrage très épuré, contemplatif même.
D'accord avec toi! Il y aurait un bon film à faire avec ça!

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24 juin 2020, 23:03

Datant également de 1965, mon disque de la Saint-Jean 2020.



Un petit trésor. Beau vestige d'une époque révolue où un chansonnier pouvait pondre un disque instrumental à mi-chemin entre jazz et classique. Maintenant, tout doit entrer dans une seule case...

Bonne Saint-Jean tout le monde!