http://arnauddc.blog.lemonde.fr/2012/04 ... roissance/
https://www.erudit.org/fr/revues/libert ... 4722ac.pdf
http://www.institutcoppet.org/wp-conten ... ichard.pdf
( Les fondements du capitalisme originel sont plus là dans Benjamin Franklin )
Analyse superficielle. Le consommateur lambda ne se contente pas de ces produits parce que c'est dans sa nature de rechercher le médiocre. Il s'en contente d'une part parce qu'il est bombardé de marketing 24/7 qui conditionne ses comportements de consommateur et, d'autre part, parce que sa situation financière ne lui laisse pas-le-choix de se contenter du médiocre.
Bin non, pezzz, c'est tout faux.Il s'en contente d'une part parce qu'il est bombardé de marketing 24/7 qui conditionne ses comportements de consommateur et, d'autre part, parce que sa situation financière ne lui laisse pas-le-choix de se contenter du médiocre.
L'excellence des articles de Vailles tient du fait qu'il frappe là où ça fait mal. L'homme de paille? Un bien moindre mal si c'est pour faire comprendre par l'absurde. Ça fait réfléchir vite et bien. C'est déjà mieux que pas pentoute, right? À l'ère où le consommateur google 5 secondes et quart pour savoir s'il achète de quoi ou non, lui expliquer des concepts du bon consommateur tient du défi. Tant mieux si son article a fait réagir.
Voilà.la moindre durabilité des produits tient davantage aux exigences des consommateurs pour des bas prix qu'au complot des manufacturiers. Et aussi, bien sûr, au coût élevé de la main-d'oeuvre pour la réparation et à la vitesse des avancées technologiques.
En aucun cas je ne prétend que le consommateur doit acheter un produit de luxe (qualité perçue ou réelle) s'il veut éviter des désagréments (lire: se faire fourrer).Mais pour ton point de vue, il est même plus celui d'un producteur, du côté de l'offre plus que de la demande et mettant la faute sur les consommateurs. Bien oui, ils n'achètent pas en grand nombre les produits de luxe car ils sont trop paresseux.