Pour ses critiques ? Pierre Péladeau qui adorait pourtant les artistes ne se gênait pas pour critiquer les bien-pensants et autres, d'Outremont ou de Radio-Canada en disant que ce sont des tartuffes, non pas des aristrocrates des tartuffes.
http://www.journaldemontreal.com/2017/1 ... du-showbiz
Pour le showbiz comme tel ? C'est une roue qui doit continuer à tourner, et tout est un show depuis fort longtemps, les nouvelles, la politique, le monde du sport.
It's only showbusiness but I like it. Martineau faire des chroniques c'est du showbizz aussi.
Les intellectuels ? On les entend très peu et venez nous faire suer avec Boch-Côté et même encore moins avec Normand Baillargeon et non pas que ce ne sont pas des intellos mais c'est du niveau premier cours de philo au cégep pour Baillargeon ou de notre cours de stats maths 337, qu'on a eu au cégep. Et alors ? Deux bons cours ? Bien oui, et faciles à maîtriser sur les sophismes et le cours de stats sur l'art de mentir. C'est pas tout le monde qui a eu des stats au cégep et qui en ont fait en profondeur à l'université ou beaucoup plus encore. Cela ne lui enlève rien mais je le vois pas avec cela comme meilleur intellectuel que mes enseignants de français du secondaire et du Cégep, que ceux de philo ou les profs de maths. Et ses ouvrages alors ? Il en parle moins publiquement.
Ou encore Boch-Côté nous parle d'On n'est pas couchés que je regardais... Mais c'est nullement plus intello que la radio de Radio-Canada ou CIBL ou le Canal Savoir cela l'est même moins. C'est lui qui veut être populaire mais qui n'est pas vraiment bon vulgarisateur et qui est un peu seul de sa tribu au Québec de ce type de conservatisme venu d'Europe.
Pour les médias ? Minute, cela a toujours été mitigé. Voyons donc, nous étions abonnés mais avant cela beaucoup ne l'étaient pas juste l'hebdo local qui est lu. Les journaux de Montréal arrivent rien qu'en début d'après-midi en région.
Pour des abuseurs qui ne sont pas du tout des artistes, il y en a en masse dans d'autres domaines voyons donc, dans les bars, la restauration, dans des bureaux en partie. Milieu par milieu.