Pierre Foglia à Miami, page C2 :
http://collections.banq.qc.ca/lapresse/ ... -31_03.pdf
Mais sa venue là-bas était surtout pour faire un reportage sur Henri Richard en 3 volets, 3 journées de suite pour la publication du texte, du contenu en voulez-vous ? En voilà. Mais l'accès aux joueurs pouvait être vraiment là et c'est au journaliste de l'écrit qu'ils parlent, ils ne vont pas faire leur jars à la radio ou à la télévision sans formation, formation qui peut être sur le tas dans le cas de Gilles Tremblay à l'époque mais entouré des meilleurs avec René Lecavalier, Jacques Duval et Richard Garneau.
Première partie du reportage sur Henri , pages A1 et A6 :
http://collections.banq.qc.ca/lapresse/ ... -31_01.pdf
Vous lisez Foglia et vous, vous rendez compte à quel point les journalistes aujourd'hui pour la plupart ne savent pas du tout écrire. Réjean Tremblay dans les années '80 savait quand même écrire sans être aussi bon que Foglia.
Deuxième partie, page 13 de 29, des pages corrigées ou page B3 :
http://collections.banq.qc.ca/lapresse/ ... -01_05.pdf
Un certain Pierre Beaulieu qui couvrait aussi la culture que j'ai déjà lu, écrivait bien. Alain Brunet écrit bien aussi, c'est certain mais on lui impose une grande concision mais il livre la marchandise. Les longs textes au final sont meilleurs mais c'est ce que permettait l'époque et avec toute la poésie que cela donne, toute la passion du métier et de la personne authentique comme Henri Richard que tu rencontres.
Troisième partie dans l'édition du 2 juin.
Photo par Pierre Côté de Henri et son fils en page A1 :
http://collections.banq.qc.ca/lapresse/ ... -02_01.pdf
L'article en page D2 :
http://collections.banq.qc.ca/lapresse/ ... -02_04.pdf
Au final, il semble y avoir pas mal moins de journalistes au total qui écrivent pour La Presse et même qu'aujourd'hui où cela a pourtant été réduit depuis 20 ans. Moins de journalistes à l'époque de 1973 semble-t-il mais qui écrivent beaucoup plus et ils ont le photographe avec eux. Tu en engages moins mais tu leurs donnes les conditions pour faire du vrai bon travail disons et ils sont nombreux à être réellement doués.