Bon je mets cela dans ce sujet celui sur La Presse, je ne le retrouve plus ou c'était sur l'ancien site mais pour moi cela va ensemble, la diminution de la qualité de ce journal.
http://www.lapresse.ca/debats/editoriau ... avenir.php
Se bercer d'illusions et en écrivant pour sa clique d'intérêts particuliers c'est la vérité plus que jamais. Très mauvais lecture du marché. Roger D. Landry lui savait lire le marché et La Presse pouvait compétitioner le Journal de Montréal tout en étant bien plus le mien. C'était vraiment pas le mien le Journal de Montréal qui tâche les doigts. Le Devoir lui qui était archi-mince. Peut-être pas de publicité mais peu de contenu nous intéressant.
'' En cette fin 2017, on peut même dire que le « journal », en tant qu'outil civique ayant pour but de fournir au citoyen l'information la plus complète et crédible sur tout ce qui concerne ses affaires, a plus de pertinence que jamais.
C'est en effet par l'entremise d'un journal diffusé au quotidien que les lecteurs peuvent apprendre ce qui se passe au-delà de leurs intérêts particuliers, se repérer dans la multitude de nouvelles offertes sur le web et forcer leurs dirigeants à rendre des comptes. ''
La Presse et le passé et pertinent dans les années '90 ? Le noeud double-windsor pour ma cravate . Comment s'appelait la chroniqueuse mode ? Bon mais je faisais celui là sauf que c'est un noeud dit de grandes occasions plus qu'au jour le jour...
Tu vas à la bibliothèque le chercher et oui sur papier mais tu peux toujours l'avoir en archives.
http://collections.banq.qc.ca/retrieve/4487739#page=5
Viviane Roy en 1995, et on s'en servait encore en 2002 ou même 2004. Bon mais j'aimerais encore mieux tous les avoir. Tous les types de noeuds possibles.
Elle donne une information pratique.
Elle ne te fait pas chier avec ses opinions politiques.
'' Cette évolution, elle aura ainsi fait passer le journal de l'encre aux pixels. Et elle nous aura, du coup, rappelé une chose fondamentale : l'important, ce n'est ni le support ni la plateforme, c'est le contenu.
L'important, autrement dit, c'est la salle de rédaction qui alimente le média. C'est la crédibilité des journalistes qui y oeuvrent. C'est la fiabilité des nouvelles que les lecteurs peuvent consulter chaque jour. C'est la confiance que ces derniers accordent à ce qu'ils lisent.
L'important, bref, c'est la rigueur des artisans de l'information qui assemblent le quotidien au quotidien. Quel que soit son format. ''
Justement c'est cela qu'on a pas, on est rendu avec des militants mais qui ne s'affichent pas comme tels alors qu'avant tu avais des représentants du pouvoir, de la direction. Puis même avec les militants ils sont toujours des représentants du pouvoir mais faisant semblant de porter à gauche. Ils sont encore plus ''vendus'' alors qu'un éditorialiste l'était par définition avant. Tu ne veux pas être éditorialiste à moins d'être un lèche-derrière.
Du moins dans un journal appartenant à des intérêts privés. Sinon, un journal vraiment indépendant et militant et tes biais tu les assumes haut et fort !
Mais cela n'a jamais été neutre pour aucun ? Bien non, tu sais où ils se positionnent, avec qui ils couchent. Tu les lisais pareil à l'occasion les vieilles barbes et il leur arrivait d'avoir raison pareil mais ils sont trop plates. Vite allons lire Foglia.
Il a raison ou tort ? It doesn't matter. C'est une chronique, un essai d'humeurs mais talentueux. C'était plus Josée Blanchette qui allait dans son sens. Mais avec sa personnalité à elle. Un peu Petrowski mais elle, elle a presqu'ouvert la porte aux autres qui disent n'importe quoi. C'est drôle quand il y en a juste une.
Pour la pensée , le Journal de Montréal reste pire que La Presse. Pour Le Devoir, il vaut mieux se concentrer sur la culture et les plaisirs car autrement ils sont biaisés et dans le champ gauche.