La grosse dérape du gouvernement provincial...
Publié : 09 juil. 2020, 10:20
Et puis? La belle solidarité du mois de mars? Les beaux sondages qui montraient Legault-Arruda comme the next Jesus?
Là ça commence à tomber en vrille, incluant bien sûr la mairesse Valérie Plante qui ne se fait pas une tonne d'amis ces temps-ci.
L'extrême gaffe de communication concernant le masque est absolument hallucinante. Ca va créer plus que des frustrations, ca va créer des conflits. Montréal avait déjà un genoux à terre, maintenant l'été est officiellement enterré, seuls les locaux vont se promener dans la ville (pis encore... ca fuit vers les régions massivement)
Fermer les bars à minuit? Obliger les tenanciers de prendre un registre des clients? Crisse, c'est une belle soirée le fun ça. Non merci bye j'vais aller faire du kayak à Sainte-Agathe.
Dans les faits, les gens, les jeunes, vont s'organiser des partys clandestins un peu partout, c'est écrit dans le ciel. Nous entrons officiellement dans une zone de rébellion et de désobéissance civile, there's no fuckin way que les gens vont rester bien docile après le printemps qu'on vient de passer, pendant l'été qui s'annonce caniculaire, en portant un masque qui s'annonce obligatoire...
Combien de tenanciers vont vouloir ouvrir pour se faire chier pour si peu? À voir. Prévoyez une vague d'incendie criminels dans plusieurs établissements. Passe d'assurance et autre. Vague de faillites ensuite, bars et restaurants. Montréal va se faire défigurer. Cette ville sans ses restos, ses bars, ses festivals, ses touristes c'est pas grand chose.
Puis septembre va arriver, la rentrée. Un after-party d'un party qui n'aura jamais eu lieu. L'humeur sera pas joyeux. Les premières neiges juste après, et puis une monstrueuse vague de faillites, surtout chez les détaillants, le reste des restos et bars, puis le spectre d'une 2e (ou 3e?) vague de C19 qui va venir hanter l'hiver.
Le gouvernement, ou les gouvernements, commencent à perdre les pédales complètement. Sacrifier l'économie et la santé mentale de la population sera bientôt vu comme une coûteuse erreur, que nous allons payer pendant très très longtemps.
Là ça commence à tomber en vrille, incluant bien sûr la mairesse Valérie Plante qui ne se fait pas une tonne d'amis ces temps-ci.
L'extrême gaffe de communication concernant le masque est absolument hallucinante. Ca va créer plus que des frustrations, ca va créer des conflits. Montréal avait déjà un genoux à terre, maintenant l'été est officiellement enterré, seuls les locaux vont se promener dans la ville (pis encore... ca fuit vers les régions massivement)
Fermer les bars à minuit? Obliger les tenanciers de prendre un registre des clients? Crisse, c'est une belle soirée le fun ça. Non merci bye j'vais aller faire du kayak à Sainte-Agathe.
Dans les faits, les gens, les jeunes, vont s'organiser des partys clandestins un peu partout, c'est écrit dans le ciel. Nous entrons officiellement dans une zone de rébellion et de désobéissance civile, there's no fuckin way que les gens vont rester bien docile après le printemps qu'on vient de passer, pendant l'été qui s'annonce caniculaire, en portant un masque qui s'annonce obligatoire...
Combien de tenanciers vont vouloir ouvrir pour se faire chier pour si peu? À voir. Prévoyez une vague d'incendie criminels dans plusieurs établissements. Passe d'assurance et autre. Vague de faillites ensuite, bars et restaurants. Montréal va se faire défigurer. Cette ville sans ses restos, ses bars, ses festivals, ses touristes c'est pas grand chose.
Puis septembre va arriver, la rentrée. Un after-party d'un party qui n'aura jamais eu lieu. L'humeur sera pas joyeux. Les premières neiges juste après, et puis une monstrueuse vague de faillites, surtout chez les détaillants, le reste des restos et bars, puis le spectre d'une 2e (ou 3e?) vague de C19 qui va venir hanter l'hiver.
Le gouvernement, ou les gouvernements, commencent à perdre les pédales complètement. Sacrifier l'économie et la santé mentale de la population sera bientôt vu comme une coûteuse erreur, que nous allons payer pendant très très longtemps.