Solde migratoire.

[Verbo]

Un article du Journal de Montréal, ses conclusions et chiffres :

http://www.journaldemontreal.com/2017/1 ... etats-unis

On retourne en arrière, de 2001 à 2006, le solde migratoire est bien plus négatif et donc avant Obama...

https://www.statcan.gc.ca/pub/11-008-x/ ... 01-fra.htm

Venant de la page suivante :

https://www.statcan.gc.ca/pub/11-008-x/ ... 87-fra.htm

'' Dans l'ensemble, toutefois, ce phénomène qualifié « d'exode des cerveaux » est demeuré de faible envergure, que ce soit dans une perspective historique ou par rapport à l'effectif de travailleurs canadiens''

''À l'échelle mondiale, on observe que les échanges migratoires entre pays développés se poursuivent, mais que leur nature a changé. Aujourd'hui, on parle de plus en plus de circulation de cerveaux plutôt que d'exode de cerveaux. On note, par exemple, que la migration entre pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) est en hausse, mais est caractérisée surtout par des flux temporaires de chercheurs, d'étudiants, de gestionnaires ou de spécialistes en ''

[Verbo]

http://echoscommunication.org/2016/04/1 ... -cerveaux/

Les médias cherchent les problèmes et trouvent aussi les chercheurs qui correspondent à leurs paradigmes, leurs biais.

[Verbo]

Bien intéressant :

http://www.acs-aec.ca/fr/l-aec/mandat/

Mais ce mandat là peut mener à une forme de nationalisme ou de protectionnisme alors qu'on gagne à échanger.

Bon mais ma petite cousine vivant aux États-Unis et son époux et ses garçons ils enrichissent les Américains et on est perdant ? Je ne vois pas cela ainsi.

[Verbo]

http://affaires.lapresse.ca/opinions/ch ... rveaux.php

[Verbo]

La fuite des cerveaux exagérée par la gauche ou par la droite ? Mais les deux peuvent le faire.

Mais si on prend le libéralisme économique, les gens doivent pouvoir migrer comme ils le souhaites. Mais les politiques économiques et fiscales ? Elles ont des effets, c'est sûr, le libéralisme économique ne veut pas d'interventions gouvernementales venant fausser les marchés. Par contre, quand il y a des externalités ou des biens publics, c'est à la population de décider. Le marché est défaillant pris seul.

Les inquiétudes ou réjouissances d'un bord ou l'autre sont souvent exagérées.

Pour l'environnement, c'est, à mon sens, l'inverse. Ou encore, on fait sembler de s'y intéresser mais on obtient des résultats assez modestes.