PIERRE KWENDERS - MAKANDA AT THE END OF SPACE, THE BEGINING OF TIME ( 8 septembre)
Le nouvel album du montréalais d'adoption a été produit par... Tendai Maraire de Shabazz Palaces. Ishmael Butler y fait aussi son apparition. J'ai écouté et ce n'est pas mauvais du tout!
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chibougue
- 02346
- Inscription : 24 mai 2017, 11:45
On peut maintenant écouter le nouveau Chelsea Wolfe et le nouveau GY!BE sur NPR. Devinez ce que je vais faire aujourd'hui!
http://www.npr.org/series/98679384/first-listen
http://www.npr.org/series/98679384/first-listen
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Luc
- 00078
- Inscription : 10 juil. 2017, 09:55
J'ai écouté le GYBE, j'y ai réagi tièdement. À réécouter. J'ai commencé à écouter Chelsea, j'aime bien.
Dans Le Devoir d'aujourd'hui, il y a Sylvain Cormier qui fait une critique du nouveau Bruce Cockburn :
"Décidément, ça m’échappe. Je constate une fois de plus que l’artisanat chansonnier a été mené à un rare degré de raffinement. Le jeu des musiciens est supérieur, mais pas cliniquement parfait, ça groove, les collaborations sont bienvenues (Mary Gautier, Colin Linden). Comme toujours chez Cockburn, le propos ne manque pas de pertinence : lucidité de l’état des lieux dans States I’m In, vide existentiel décrit dans Café Society, rien à redire. Les chansons où il exalte sa relation avec Dieu ne prêchent pas. Quand on l’intronisera, en même temps que Beau Dommage et Neil Young, au Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens, ce sera plus que mérité. Quand on l’applaudira au Club Soda le 19 septembre, ce ne sera pas seulement pour services rendus. Malgré tout ça, encore et toujours, cette voix, ces mélodies me glissent sur le corps sans adhérer. Les enregistrements de Bruce Cockburn m’ennuient d’un ennui abyssal. Électrocardiogramme plat. Sais pas pourquoi. Suis-je seul à bâiller ?"
Sous ce texte (dans le site du Devoir), il y a un commentaire d'un certain Paul Toutant :
"Blandness
Cher Cormier, pour apprécier vraiment Cockburn, il faut aller se plonger dans le
" blandness" canadien pendant un certain temps. Un dimanche de pluie d'automne à London, Ontario. Un roast beef trop cuit assaisonné de gelée à la menthe du commerce. Un pot-au-feu mijoté sans épices, avec juste un peu de sel et de poivre. Un chat étonné qu'on le caresse. Des amis qui n'arrivent jamais à être sexy même quand tout le monde est tout nu. Rouler des heures à travers des paysages uniformes et mornes. Des gens gentils au possible, ouverts à tous, sauf à eux-mêmes. Un Lac Ontario sans vagues sous un soleil de plomb. Un jus de pomme au lieu d'un vin blanc gouleyant. L'idée de Dieu bienveillant et évanescent, sans aspérités. Toutes ces petites choses qui vous rendent la fausse monotonie de Cockburn incompréhensible. On appelle ça le Canada."
Puis il y a mon commentaire :
"Pas de bâillements chez moi
C’est mystérieux, ce blocage. Anhédonie partielle causée par une connectivité neuronale réduite dans le secteur du noyau accumbens? Préjugés ancrés profondément (comme ce qu’on peut lire dans le commentaire ci-dessus)? Manque de sensibilité ou de curiosité? Aucune des chansons réparties sur les 25 albums studio de Cockburn ne suscite ou n’évoque quoi que ce soit? L’avez-vous déjà interviewé? Avez-vous essayé de lire ses textes à froid, sans musique? C’est ce qu’une animatrice de club de poésie nous faisait faire, à l’été 1984, le dimanche soir, dans un salon du deuxième étage du foyer d’étudiants Chown Hall de l’université Queen’s : on décortiquait les textes de « Inner City Front ». La version française qui figurait à côté, dans la pochette – délicate attention du francophile Bruce –, nous facilitait la tâche.
Cockburn est un être talentueux – autant pour la musique que les textes –, humble, doux, discret, travailleur, sain, empathique, militant, engagé. Je l’ai déjà vu en concert, il est drôle et sympathique, comme un Gordon Lightfoot beaucoup moins torturé-magané. Sans doute le chansonneur canadien le plus francophile, de ce côté-ci de l’existence de Cohen. Malheureusement méconnu et sous-estimé ici, je crois. Deux étoiles et demie pour « Bone on Bone », un album à la fois magistral et très évocateur? Et chaud, grâce, entre autres, au cornet de Ron Miles et aux chœurs? Pas de bâillements chez moi."
Dans Le Devoir d'aujourd'hui, il y a Sylvain Cormier qui fait une critique du nouveau Bruce Cockburn :
"Décidément, ça m’échappe. Je constate une fois de plus que l’artisanat chansonnier a été mené à un rare degré de raffinement. Le jeu des musiciens est supérieur, mais pas cliniquement parfait, ça groove, les collaborations sont bienvenues (Mary Gautier, Colin Linden). Comme toujours chez Cockburn, le propos ne manque pas de pertinence : lucidité de l’état des lieux dans States I’m In, vide existentiel décrit dans Café Society, rien à redire. Les chansons où il exalte sa relation avec Dieu ne prêchent pas. Quand on l’intronisera, en même temps que Beau Dommage et Neil Young, au Panthéon des auteurs et compositeurs canadiens, ce sera plus que mérité. Quand on l’applaudira au Club Soda le 19 septembre, ce ne sera pas seulement pour services rendus. Malgré tout ça, encore et toujours, cette voix, ces mélodies me glissent sur le corps sans adhérer. Les enregistrements de Bruce Cockburn m’ennuient d’un ennui abyssal. Électrocardiogramme plat. Sais pas pourquoi. Suis-je seul à bâiller ?"
Sous ce texte (dans le site du Devoir), il y a un commentaire d'un certain Paul Toutant :
"Blandness
Cher Cormier, pour apprécier vraiment Cockburn, il faut aller se plonger dans le
" blandness" canadien pendant un certain temps. Un dimanche de pluie d'automne à London, Ontario. Un roast beef trop cuit assaisonné de gelée à la menthe du commerce. Un pot-au-feu mijoté sans épices, avec juste un peu de sel et de poivre. Un chat étonné qu'on le caresse. Des amis qui n'arrivent jamais à être sexy même quand tout le monde est tout nu. Rouler des heures à travers des paysages uniformes et mornes. Des gens gentils au possible, ouverts à tous, sauf à eux-mêmes. Un Lac Ontario sans vagues sous un soleil de plomb. Un jus de pomme au lieu d'un vin blanc gouleyant. L'idée de Dieu bienveillant et évanescent, sans aspérités. Toutes ces petites choses qui vous rendent la fausse monotonie de Cockburn incompréhensible. On appelle ça le Canada."
Puis il y a mon commentaire :
"Pas de bâillements chez moi
C’est mystérieux, ce blocage. Anhédonie partielle causée par une connectivité neuronale réduite dans le secteur du noyau accumbens? Préjugés ancrés profondément (comme ce qu’on peut lire dans le commentaire ci-dessus)? Manque de sensibilité ou de curiosité? Aucune des chansons réparties sur les 25 albums studio de Cockburn ne suscite ou n’évoque quoi que ce soit? L’avez-vous déjà interviewé? Avez-vous essayé de lire ses textes à froid, sans musique? C’est ce qu’une animatrice de club de poésie nous faisait faire, à l’été 1984, le dimanche soir, dans un salon du deuxième étage du foyer d’étudiants Chown Hall de l’université Queen’s : on décortiquait les textes de « Inner City Front ». La version française qui figurait à côté, dans la pochette – délicate attention du francophile Bruce –, nous facilitait la tâche.
Cockburn est un être talentueux – autant pour la musique que les textes –, humble, doux, discret, travailleur, sain, empathique, militant, engagé. Je l’ai déjà vu en concert, il est drôle et sympathique, comme un Gordon Lightfoot beaucoup moins torturé-magané. Sans doute le chansonneur canadien le plus francophile, de ce côté-ci de l’existence de Cohen. Malheureusement méconnu et sous-estimé ici, je crois. Deux étoiles et demie pour « Bone on Bone », un album à la fois magistral et très évocateur? Et chaud, grâce, entre autres, au cornet de Ron Miles et aux chœurs? Pas de bâillements chez moi."
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Verbo
- 04036
- Inscription : 12 juin 2017, 13:42
Bel échange Luc chez Cormier...
http://www.ledevoir.com/culture/musique ... e-cockburn
Pour Paul Toutant serait-ce l'ancien chroniqueur culturel de Radio-Canada ? Son point de vue donne une explication mais ressemble à celui d'un indépendantiste qui n'aime pas du tout le Canada anglais. Alors qu'il y a des souverainistes qui aiment pareil le ROC, ils savent que le peuple est différent mais aiment aller les visiter.
Je ne peux pas me prononcer sur cet album de Bruce Cockburn, mais j'ai dû l'entendre lui l'artiste plusieurs fois à la CBC Radio 2. Perso, je me sens pas si éloigné du Canada anglais mais ce dont parle Cormier cela peut aller avec le folk comme le roots, roots plutôt que country. Mais country pourrait lui faire le même effet ?
http://www.thecanadianencyclopedia.ca/e ... -cockburn/
Il donne une étoile de plus à un album de Marcel Martel et Noëlla Therrien. Perso, j'ai une compilation de Marcel Martel et tout un talent mais acheté pour une occasion spéciale cet album et je l'ai écouté presque juste pour cela, rendant hommage à un de mes oncles qui venait de décéder. Une bonne bière et tu écoutes Marcel Martel. Je l'aime aussi mais le vrai fan c'était l'oncle quoiqu'il l'était encore plus de Jimmy James celui de Rouyn-Noranda et non le bluesman.
http://www.ledevoir.com/culture/musique ... a-therrien
Jimmy James qui a aussi inspiré Richard Desjardins dans sa jeunesse.
http://www.ledevoir.com/culture/musique ... e-cockburn
Pour Paul Toutant serait-ce l'ancien chroniqueur culturel de Radio-Canada ? Son point de vue donne une explication mais ressemble à celui d'un indépendantiste qui n'aime pas du tout le Canada anglais. Alors qu'il y a des souverainistes qui aiment pareil le ROC, ils savent que le peuple est différent mais aiment aller les visiter.
Je ne peux pas me prononcer sur cet album de Bruce Cockburn, mais j'ai dû l'entendre lui l'artiste plusieurs fois à la CBC Radio 2. Perso, je me sens pas si éloigné du Canada anglais mais ce dont parle Cormier cela peut aller avec le folk comme le roots, roots plutôt que country. Mais country pourrait lui faire le même effet ?
http://www.thecanadianencyclopedia.ca/e ... -cockburn/
Il donne une étoile de plus à un album de Marcel Martel et Noëlla Therrien. Perso, j'ai une compilation de Marcel Martel et tout un talent mais acheté pour une occasion spéciale cet album et je l'ai écouté presque juste pour cela, rendant hommage à un de mes oncles qui venait de décéder. Une bonne bière et tu écoutes Marcel Martel. Je l'aime aussi mais le vrai fan c'était l'oncle quoiqu'il l'était encore plus de Jimmy James celui de Rouyn-Noranda et non le bluesman.
http://www.ledevoir.com/culture/musique ... a-therrien
Jimmy James qui a aussi inspiré Richard Desjardins dans sa jeunesse.
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Verbo
- 04036
- Inscription : 12 juin 2017, 13:42
Cela semble bon , du folk peut-être un peu roots.
http://nodepression.com/article/listen- ... -bone-bone
Je me rappelle plus le nom de l'animateur de la CBC Radio 2...
https://en.wikipedia.org/wiki/Deep_Roots
Oui cette émission là qu'il animait, Tom Power, c'est à lui qu'il faudrait demander son avis sur l'album de Cockburn.
https://en.wikipedia.org/wiki/Tom_Power_(musician)
https://twitter.com/tompowercbc
https://twitter.com/cbcradioq/status/908695902453460993
http://www.cbc.ca/radio/q/friday-sept-1 ... -1.4289356
Une entrevue et non une critique.
Difficile pour moi de faire une critique jusqu'à présent , j'aime cela mais jusqu'à quel point ? Cela prendrait plusieurs écoutes, je sais juste que je le respecte et peut aimer écouter ce genre.
Pour moi c'est plus une question de mood, en faire la critique, il faudrait comparer avec ses autres albums, Cormier dit lui que cela l'ennuie, ce genre de folk c'est possible et cela peut très bien être canadian. C'est pas obligé d'être toi-même que tu écoutes. Tu prends ce qui te rejoint.
Je crois que je l'aime mieux en concert live ou un album live ou un concert pour la radio et tu entendrais le public aussi pour Cockburn. Alors avec public, le sentiment éprouvé par Cormier serait plus faible ?
En public , j'adorerais ça je crois. Mais je ne l'ai pas arrêté encore, alors je l'aime bien cet album. Le critique a le droit de faire étalage de ses goûts et préférences personnelles.
http://nodepression.com/article/listen- ... -bone-bone
Je me rappelle plus le nom de l'animateur de la CBC Radio 2...
https://en.wikipedia.org/wiki/Deep_Roots
Oui cette émission là qu'il animait, Tom Power, c'est à lui qu'il faudrait demander son avis sur l'album de Cockburn.
https://en.wikipedia.org/wiki/Tom_Power_(musician)
https://twitter.com/tompowercbc
https://twitter.com/cbcradioq/status/908695902453460993
http://www.cbc.ca/radio/q/friday-sept-1 ... -1.4289356
Une entrevue et non une critique.
Difficile pour moi de faire une critique jusqu'à présent , j'aime cela mais jusqu'à quel point ? Cela prendrait plusieurs écoutes, je sais juste que je le respecte et peut aimer écouter ce genre.
Pour moi c'est plus une question de mood, en faire la critique, il faudrait comparer avec ses autres albums, Cormier dit lui que cela l'ennuie, ce genre de folk c'est possible et cela peut très bien être canadian. C'est pas obligé d'être toi-même que tu écoutes. Tu prends ce qui te rejoint.
Je crois que je l'aime mieux en concert live ou un album live ou un concert pour la radio et tu entendrais le public aussi pour Cockburn. Alors avec public, le sentiment éprouvé par Cormier serait plus faible ?
En public , j'adorerais ça je crois. Mais je ne l'ai pas arrêté encore, alors je l'aime bien cet album. Le critique a le droit de faire étalage de ses goûts et préférences personnelles.
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Verbo
- 04036
- Inscription : 12 juin 2017, 13:42
Pour Paul Toutant sa critique du Canada anglais fait penser à Astérix chez les Bretons et visant l'Angleterre.
De la cervoise bien tiède avec cela ? Bien justement la bière pour qu'elle goûte, il ne faut pas la boire trop froide. Non mais c'est une caricature des Anglais. C'est de la bande dessinée.
C'est pas vrai du tout , du moins pas pour tous les Britanniques.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ast%C3%A9 ... es_Bretons
De la cervoise bien tiède avec cela ? Bien justement la bière pour qu'elle goûte, il ne faut pas la boire trop froide. Non mais c'est une caricature des Anglais. C'est de la bande dessinée.
C'est pas vrai du tout , du moins pas pour tous les Britanniques.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ast%C3%A9 ... es_Bretons
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Verbo
- 04036
- Inscription : 12 juin 2017, 13:42
Oui je l'ai écouté au complet Cockburn , c'est un bon album, serait meilleur en montant le son ou en live encore plus.
Ici, une critique positive , ils donnent 4 étoiles sur 5 :
http://spillmagazine.com/spill-album-re ... bone-bone/
Je n'ai pas forcément ressenti tout cela et j'ai pas le texte en main alors je n'écoute pas toutes les paroles, la voix sert d'instrument de musique et les émotions du discours.
3 étoiles et demie mais pas pour le disque pour mon expérience d'écoute en ligne. C'est pas juste lui, c'est moi aussi.
Deep Roots, avec Tom Power, c'était très plaisant à écouter dans le temps mais c'est fini.
Ici, une critique positive , ils donnent 4 étoiles sur 5 :
http://spillmagazine.com/spill-album-re ... bone-bone/
Je n'ai pas forcément ressenti tout cela et j'ai pas le texte en main alors je n'écoute pas toutes les paroles, la voix sert d'instrument de musique et les émotions du discours.
3 étoiles et demie mais pas pour le disque pour mon expérience d'écoute en ligne. C'est pas juste lui, c'est moi aussi.
Deep Roots, avec Tom Power, c'était très plaisant à écouter dans le temps mais c'est fini.
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jon8
- 07116
- Inscription : 15 avr. 2017, 00:26
Commencé le Chelsea 2017 et ça augure bien, sauf que c'est assez lourd quand même, hein?chibougue a écrit : ↑15 sept. 2017, 05:44On peut maintenant écouter le nouveau Chelsea Wolfe et le nouveau GY!BE sur NPR. Devinez ce que je vais faire aujourd'hui!
http://www.npr.org/series/98679384/first-listen
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Verbo
- 04036
- Inscription : 12 juin 2017, 13:42
Ok, je vous entends ou plutôt lis souvent en parler :
http://www.npr.org/2017/09/14/550446122 ... ian-towers
Pas d'opinion sur l'album en terme d'évaluation mais c'est un genre de musique que je peux avoir déjà écouté mais cela me prend un contexte, une stimulation pour vraiment aller vers.
Comme être dans l'autocar dans la jeunesse et la personne ami te plogue son walkman sur les oreilles et tu écoutes et pas juste 30 secondes et tu aimes cela.
Cela peut être une vidéo, un article, une entrevue, c'est un déclic. Autrement tu lis ou écoutes des déjà initiés ou fans du groupe et ce n'est pas ton déclic à toi.
Tu deviens fan d'un artiste ou tu sens le besoin d'aller acheter ses albums ou du moins de les écouter ou réécouter.
C'est un genre de musique que je pourrais écouter tard en fin de soirée sur une radio si cela jouait ou si on a l'album.
J'aime entendre du champ pas juste de l'ambiance, cela dépend des heures et du mood. Je suis aussi pire que les radios commerciales ? En plus libre , en moins formaté, en plus imprévisible.
Quelqu'un déjà fan ou accroc , yes il veut l'écouter le plus rapidement possible . Une sortie d'album. Comme cela m'arrivait avec d'autres artistes mes tes amis ou autres fans ne sont pas dans le magasin avec toi. Tu vas acheter l'album et après cela c'était fini pour le disquaire.
http://www.npr.org/2017/09/14/550446122 ... ian-towers
Pas d'opinion sur l'album en terme d'évaluation mais c'est un genre de musique que je peux avoir déjà écouté mais cela me prend un contexte, une stimulation pour vraiment aller vers.
Comme être dans l'autocar dans la jeunesse et la personne ami te plogue son walkman sur les oreilles et tu écoutes et pas juste 30 secondes et tu aimes cela.
Cela peut être une vidéo, un article, une entrevue, c'est un déclic. Autrement tu lis ou écoutes des déjà initiés ou fans du groupe et ce n'est pas ton déclic à toi.
Tu deviens fan d'un artiste ou tu sens le besoin d'aller acheter ses albums ou du moins de les écouter ou réécouter.
C'est un genre de musique que je pourrais écouter tard en fin de soirée sur une radio si cela jouait ou si on a l'album.
J'aime entendre du champ pas juste de l'ambiance, cela dépend des heures et du mood. Je suis aussi pire que les radios commerciales ? En plus libre , en moins formaté, en plus imprévisible.
Quelqu'un déjà fan ou accroc , yes il veut l'écouter le plus rapidement possible . Une sortie d'album. Comme cela m'arrivait avec d'autres artistes mes tes amis ou autres fans ne sont pas dans le magasin avec toi. Tu vas acheter l'album et après cela c'était fini pour le disquaire.
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Verbo
- 04036
- Inscription : 12 juin 2017, 13:42
Je ne trouve pas cela si exigeant tu laisses ton album joué ou ta radio, tu n'es pas assis devant ton portable. Tu le fais jouer le nombre de fois que tu veux et tu laisses ton cerveau vagabonder s'il veut, tu peux être assis et former le triangle parfait avec tes speakers mais pas obligé. Tu laisses jouer cela dans ta maison ou ton appartement jusqu'à temps de t'en imprégner.
L'exigence c'est à la fois du détachement et de l'attention. Pas d'écran devant soi où il se ferme mais le son.
La dissonance cela me dérange pas du tout, question de mood.
Là encore je sens que le groupe est placé sur un podium que ce soit mérité ou pas. Bon mais c'est cela,il ne faut pas faire l'inverse. Tu peux en aimer disons un autre qui peut faire un peu dans le même genre être considéré bon itou mais un peu plus bas et toi ce serait celui là avec lequel tu cliques plus.
Il faut rien forcer , il faut que cela vienne naturellement ou par hasard.
L'exigence c'est à la fois du détachement et de l'attention. Pas d'écran devant soi où il se ferme mais le son.
La dissonance cela me dérange pas du tout, question de mood.
Là encore je sens que le groupe est placé sur un podium que ce soit mérité ou pas. Bon mais c'est cela,il ne faut pas faire l'inverse. Tu peux en aimer disons un autre qui peut faire un peu dans le même genre être considéré bon itou mais un peu plus bas et toi ce serait celui là avec lequel tu cliques plus.
Il faut rien forcer , il faut que cela vienne naturellement ou par hasard.