J'ai vu un résumé d'entrevue avec Bernard Landry hier et j'ai lu les commentaires aussi des gens sous le texte...
http://ici.radio-canada.ca/premiere/emi ... ard-landry
Cela parle du vol du référendum de 1995, mais oui Jean Chrétien a triché et il a augmenté sa popularité au Canada anglais de cette manière sauf que pour le référendum il a perdu plus de votes en trichant qu'il en a gagné. Le clan du Non, un mois avant le référendum s'alignait vers une victoire facile... Bouchard a aidé à faire monter le OUI et Chrétien à faire descendre le NON. Mais la vraie affaire c'est qu'après Charlottetown les espoirs d'un référendum gagnant sur la souveraineté étaient évanouis. Tu peux toujours passer proche grâce au charisme de Bouchard et le manque total de connexion de Chrétien avec les Québécois mais c'est cela qui est cela.
Ils ne veulent pas comprendre les souverainistes que les tricheries à Chrétien les ont aidés plus que nuit. Comment est-ce possible ? Les Québécois aiment pas les tricheurs. Il y a bien quelques votes ici et là en plus mais c'est le Canada anglais qu'il a séduit et non le Québec leur love in c'était pour eux. Bien que ceux déjà pour le NON pouvaient continuer à rester pour le NON.
C'est entre 1989 et 1992 que j'ai été indépendantiste perso. Et même malgré Morin qui nous mettait en garde contre l'État-Nation. On voyait les choses autrement. Parizeau et Landry aussi étaient pour le libre-échange par exemple. Parizeau était aussi fidèle à ses convictions. Pour le PLQ ? Ils avaient une part de conservatisme en eux et l'augmentation énorme des frais de scolarité c'est eux aussi. La crise amérindienne aussi et perso j'étais plus du bord des Amérindiens mais pas les HEC ni Morin le prof de philo. Pour HEC côté français écrit cela passait facilement mais côté argumentaire, ils étaient de l'autre bord. Juste un terrain de golf moi versus un cimetière ou ancien cimetière, j'étais plus pour la terre ancestrale.
Un Jean Pierre parle des différences entre le Québec et le reste du Canada et c'est un peu ce que je trouvais à l'époque aussi mais quand les taux d'appui étaient haut et Pierre Péladeau père était pour et plein de gens d'affaires côté PME mais eux c'était plus, grouillez-vous le derrière de nous poser la question et qu'on vote cela et on passe à l'action et ensuite on parle des vraies affaires, la prospérité économique du Québec. Ils pouvaient être d'accord pour la culture aussi mais il faut pas que cela gosse, que cela taponne, que cela branle trop dans le manche, c'est tout de suite ou jamais. Donc de 1990 eux après l'échec de Meech à eux aussi vers 1992.
L'identité québécoise ?
Michel Morin encore en 1980 avec les paradoxes, la double adhérence et l'individu et son opposition à la nuit de la Poésie en 1970. Mais c'est super amusant pour ceux qui l'ont eu comme prof. Et des filles dans la classe savaient me reconnaître alors que moi je les voyais pas, bien non elles sont derrière et moi je répondais à Morin parfois et c'était drôle.
'' Où sommes-nous rendus déjà '' dixit Morin.
'' La philosophie c'est un éternel recommencement.'' Verbo
'' Vous êtes en avance , l'éternel retour c'est plus tard qu'on va le voir.'' Morin.
Tu es dans Nietzsche intuitivement sans le savoir.
Allez la page 13, encore une fois sur la double adhésion :
http://collections.banq.qc.ca/jrn03/dev ... -04-26.pdf
Les politiciens et les militants ne veulent absolument pas comprendre cela.
Pour le Brexit et Trump, c'est un peu pareil et même plus fort, la rupture entre le peuple et les élites ou les médias.
Là le plus simple c'est de lire Rapaille. Un escroc ? Non de la psychanalyse transformée en marketing intuitif et plus fort que les sondages mais imparfait. C'est pas scientifique et cela ne peut pas l'être. Faire des sondages ? Les gens te mentent. Rapaille réussit-il à les faire parler par ses séances ? En partie seulement. Un échantillon mais pas scientifique.
Sauf que les gens disent plus la vérité, leurs motivations inconscientes à aimer un produit commercial ou même un politicien.
http://c.ymcdn.com/sites/www.qrca.org/r ... ring17.pdf
http://c.ymcdn.com/sites/www.qrca.org/r ... mmer17.pdf
Perso je veux que tes 3 cerveaux soient en équilibre ou encore au sens de la psychanalyse avoir la pleine conscience de soi pour un individu comme pour un peuple.
Mais qui maîtrise complètement cela ou de manière pas mal bien ? Des individus pleinement accomplis, des peuples aussi.
Là ils sauraient s'exprimer et le côté Trump serait intégré mais pas dominant ou plutôt transformé, si ce sont des peurs cela devient l'inverse.
La compétition reste mais en étant ouvert sur le monde. Rapaille dit que les Américains restent des ados , Kennedy c'était un ado et Bill Clinton aussi, Michael Jackson itou. Non mais rester à 13 , 15 ou 16-17 toute sa vie ou mettre un gars de 17 ans comme Potus ? Pas sûr. Mais eux cela fait partie de leur code culturel. Ils vont être portés à voter pour cela state by state.
Rapaille peut vous parler du fromage aussi et de la morgue pour les Américains, il doit être mort. Chaque produit a un sens différent dans chaque culture.
C'est tout simplement cela Clinton la Volvo Station Wagon et Trump le Jeep et qui roule hors route... C'est cela que veulent les Américains. Pas tous mais le code culturel même si Trump n'est pas populaire, demandez la popularité des autres, pas de ceux avant lui, de ceux qui pourraient devenir Potus. Nuance capitale. Obama ne peut pas revenir.
J'ai vu un résumé d'entrevue avec Bernard Landry hier et j'ai lu les commentaires aussi des gens sous le texte...
http://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/les-grands-entretiens/segments/entrevue/46755/politique-quebec-souverainete-parti-quebecois-bernard-landry
Cela parle du vol du référendum de 1995, mais oui Jean Chrétien a triché et il a augmenté sa popularité au Canada anglais de cette manière sauf que pour le référendum il a perdu plus de votes en trichant qu'il en a gagné. Le clan du Non, un mois avant le référendum s'alignait vers une victoire facile... Bouchard a aidé à faire monter le OUI et Chrétien à faire descendre le NON. Mais la vraie affaire c'est qu'après Charlottetown les espoirs d'un référendum gagnant sur la souveraineté étaient évanouis. Tu peux toujours passer proche grâce au charisme de Bouchard et le manque total de connexion de Chrétien avec les Québécois mais c'est cela qui est cela.
Ils ne veulent pas comprendre les souverainistes que les tricheries à Chrétien les ont aidés plus que nuit. Comment est-ce possible ? Les Québécois aiment pas les tricheurs. Il y a bien quelques votes ici et là en plus mais c'est le Canada anglais qu'il a séduit et non le Québec leur love in c'était pour eux. Bien que ceux déjà pour le NON pouvaient continuer à rester pour le NON.
C'est entre 1989 et 1992 que j'ai été indépendantiste perso. Et même malgré Morin qui nous mettait en garde contre l'État-Nation. On voyait les choses autrement. Parizeau et Landry aussi étaient pour le libre-échange par exemple. Parizeau était aussi fidèle à ses convictions. Pour le PLQ ? Ils avaient une part de conservatisme en eux et l'augmentation énorme des frais de scolarité c'est eux aussi. La crise amérindienne aussi et perso j'étais plus du bord des Amérindiens mais pas les HEC ni Morin le prof de philo. Pour HEC côté français écrit cela passait facilement mais côté argumentaire, ils étaient de l'autre bord. Juste un terrain de golf moi versus un cimetière ou ancien cimetière, j'étais plus pour la terre ancestrale.
Un Jean Pierre parle des différences entre le Québec et le reste du Canada et c'est un peu ce que je trouvais à l'époque aussi mais quand les taux d'appui étaient haut et Pierre Péladeau père était pour et plein de gens d'affaires côté PME mais eux c'était plus, grouillez-vous le derrière de nous poser la question et qu'on vote cela et on passe à l'action et ensuite on parle des vraies affaires, la prospérité économique du Québec. Ils pouvaient être d'accord pour la culture aussi mais il faut pas que cela gosse, que cela taponne, que cela branle trop dans le manche, c'est tout de suite ou jamais. Donc de 1990 eux après l'échec de Meech à eux aussi vers 1992.
L'identité québécoise ?
Michel Morin encore en 1980 avec les paradoxes, la double adhérence et l'individu et son opposition à la nuit de la Poésie en 1970. Mais c'est super amusant pour ceux qui l'ont eu comme prof. Et des filles dans la classe savaient me reconnaître alors que moi je les voyais pas, bien non elles sont derrière et moi je répondais à Morin parfois et c'était drôle.
'' Où sommes-nous rendus déjà '' dixit Morin.
'' La philosophie c'est un éternel recommencement.'' Verbo
'' Vous êtes en avance , l'éternel retour c'est plus tard qu'on va le voir.'' Morin.
Tu es dans Nietzsche intuitivement sans le savoir.
Allez la page 13, encore une fois sur la double adhésion :
http://collections.banq.qc.ca/jrn03/devoir/src/1980/04/26/5226335_1980-04-26.pdf
Les politiciens et les militants ne veulent absolument pas comprendre cela.
Pour le Brexit et Trump, c'est un peu pareil et même plus fort, la rupture entre le peuple et les élites ou les médias.
Là le plus simple c'est de lire Rapaille. Un escroc ? Non de la psychanalyse transformée en marketing intuitif et plus fort que les sondages mais imparfait. C'est pas scientifique et cela ne peut pas l'être. Faire des sondages ? Les gens te mentent. Rapaille réussit-il à les faire parler par ses séances ? En partie seulement. Un échantillon mais pas scientifique.
Sauf que les gens disent plus la vérité, leurs motivations inconscientes à aimer un produit commercial ou même un politicien.
http://c.ymcdn.com/sites/www.qrca.org/resource/collection/AA96A06F-BF6E-4E2C-8146-CA689849AE8B/QRCA-VIEWS-Spring17.pdf
http://c.ymcdn.com/sites/www.qrca.org/resource/collection/AA96A06F-BF6E-4E2C-8146-CA689849AE8B/QRCA-Summer17.pdf
Perso je veux que tes 3 cerveaux soient en équilibre ou encore au sens de la psychanalyse avoir la pleine conscience de soi pour un individu comme pour un peuple.
Mais qui maîtrise complètement cela ou de manière pas mal bien ? Des individus pleinement accomplis, des peuples aussi.
Là ils sauraient s'exprimer et le côté Trump serait intégré mais pas dominant ou plutôt transformé, si ce sont des peurs cela devient l'inverse.
La compétition reste mais en étant ouvert sur le monde. Rapaille dit que les Américains restent des ados , Kennedy c'était un ado et Bill Clinton aussi, Michael Jackson itou. Non mais rester à 13 , 15 ou 16-17 toute sa vie ou mettre un gars de 17 ans comme Potus ? Pas sûr. Mais eux cela fait partie de leur code culturel. Ils vont être portés à voter pour cela state by state.
Rapaille peut vous parler du fromage aussi et de la morgue pour les Américains, il doit être mort. Chaque produit a un sens différent dans chaque culture.
C'est tout simplement cela Clinton la Volvo Station Wagon et Trump le Jeep et qui roule hors route... C'est cela que veulent les Américains. Pas tous mais le code culturel même si Trump n'est pas populaire, demandez la popularité des autres, pas de ceux avant lui, de ceux qui pourraient devenir Potus. Nuance capitale. Obama ne peut pas revenir.