Airbus qui gobe la C series de Bombardier...
l'avait pas vu venir celle là.... Le Duopole mondial strikes again
Pas logique. En achetant la C-Series, Airbus court-circuite les taxes à l'importation puisque les avions seront assemblés en Alabama. Génial le move de Airbus. Boing s'est tiré dans le pied.jon8 a écrit : ↑16 oct. 2017, 20:52ça explique peut-être l'offensive démentielle politico-légale de Boeing contre la C-series, peut-être qu'ils étaient parfaitement au courant que Airbus s'en venait bouffer la C-series et ça faisait peur (avec raison)... C'est un petit monde, l'aéronautique de ce calibre....
Enfin..![]()
David vient de perdre contre Goliath et Goliath va se servir de David pour câlisser une morniffe à King Kong.
http://www.lapresse.ca/actualites/polit ... illard.phpL'opposition fulmine
Les trois partis d'opposition ont été unanimes à condamner les actions menées par le gouvernement Couillard dans sa gestion de l'investissement dans la CSeries.
«Bombardier, qui a créé de loin le meilleur avion dans sa catégorie, a été poussé à donner la maison pour sauver les meubles. (...) Le fruit de plus de 10 ans de travail du génie québécois, 7 milliards d'investissements, a été donné à un concurrent étranger qui est Airbus», a martelé le chef du Parti québécois, Jean-François Lisée.
Selon lui, si Québec avait investi dans Bombardier plutôt que directement dans la CSeries, le rendement qu'il aurait obtenu serait aujourd'hui de 65%.
«On ne dit pas qu'une alliance avec Airbus n'était pas souhaitable à ce moment-ci, mais ce qu'on doit constater, c'est que lorsqu'on donne la propriété de son plus beau produit à un concurrent, on était dans une situation de faiblesse extrême», déplore le chef péquiste.
Du côté de la Coalition Avenir Québec (CAQ), François Legault demande désormais à la vérificatrice générale du Québec d'enquêter sur la valeur marchande actuelle de l'investissement du gouvernement dans la CSeries, qui avait à l'époque injecté 1,3 milliard contre 49,5% de cette division.
«Quand on est rendu qu'on donne la moitié de l'entreprise pour un investissement nul, c'est parce qu'on est mal pris et le premier ministre du Québec devrait être gêné», dit le chef caquiste, rappelant que la valeur de l'investissement du Québec représentait désormais que 19% la CSeries.
Du côté de Québec solidaire, le député de Mercier, Amir Khadir, considère que le présent dénouement n'est qu'une bouée de sauvetage envoyé à une entreprise qui était prise à la gorge.
«Regardez la situation désastreuse dans laquelle les décisions des dirigeants incompétents de Bombardier et la décision mal avisée du gouvernement Couillard d'investir dans la CSeries plutôt que dans la compagnie dans son ensemble [nous ont mis]. On était pris à la gorge et là on nous offre une bouée de sauvetage», dit-il.